L'Hirondelle qui fait le printemps...
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
jardin,
collection,
amour,
volupté,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
init,
... laisser là. Je me précipite dans la cuisine pour préparer un café et j’attends. Elle entre dans le salon, la serviette éponge nouée en un savant turban au-dessus de sa tête et le reste du corps, nu. Elle appuie son épaule sur le chambranle, croise ses pieds nus et elle me fixe du regard. Bien sûr, j’espérai bien une entrée dans ce genre… mais là, confronté à la réalité de son corps sculptural, je reste un moment stupide. Oui, je sais, on veut, on veut, on cherche… et puis quand le désir se présente sur un plateau, à portée de main, de bouche… on ne sait plus comment faire. C’est aussi ça, les hommes ! Je me lève le plus tranquillement de monde. En réalité, je tente de contrôler tous mes muscles, toutes mes réactions. Je m’approche d’elle et au moment où je pose sur ses épaules fraîches mes mains moites de désir et de nervosité, elle se hisse légèrement sur la pointe des pieds et me tend ses lèvres. On s’embrasse. D’abord, légèrement. Chacun picore la bouche de l’autre comme dans un jeu d’enfant, cherchant de plus en plus le contact avec ses lèvres. Puis nos langues commencent à chercher le contact de l’autre et d’un baiser aérien, presque prude, nous le transformons en un baiser goulu, sauvage, profond. Sa langue a un goût de menthe poivrée. Elle est habile et elle sait l’enrouler loin sur la mienne puis la retirer avec précipitation et attirer la mienne dans sa bouche. Là, du bout de ses dents acérées, elle m’en mordille l’extrémité, sans jamais mordre tout à fait. Et ...
... chaque mordillement m’envoie une longue décharge dans les reins, dans mon ventre, excite mon entrejambe, me promettant un paradis, pour bientôt. Collé à elle, je sens son corps se réchauffer à mon contact. Elle est fine et m’avait parue avoir le poids d’une plume. Pourtant elle a des rondeurs attirantes. Mes mains que j’accroche d’abord à ses épaules, glissent vers ses hanches, un peu larges et légèrement évasées. Elle a une peau satinée, douce, souple, chaude. Puis mes mains remontent cueillir en douceur son sein. Une petite masse rondelette à la pointe arrogante qui lorgne vers le ciel et me provoque. Le cerne du mamelon est presque inexistant. Le téton, seul, semble en tenir lieu. Il a un joli ton rose-orangé clair. Il est pointu, dur et sensible. Du bout de mes doigts je l’excite, le titille, l’énerve. Et sous leurs pressions, elle se met à trembler, s’accroche de plus belle à mon cou, colle son ventre et ses cuisses encore plus à mon corps. Et ma main abandonne le sein au bout raide pour descendre vers son ventre. Pour me montrer qu’elle attend mes caresses, elle se décolle doucement de moi en écartant légèrement les jambes. Ma main en conque, j’enveloppe son intimité charnue, dont les lèvres humides et un peu entrouvertes chatouillent déjà ma paume. D’un doigt fureteur, j’en parcoure les crêtes, les écarte pour atteindre son clitoris, tout petit repli de chair enfoui dans le haut de son sexe. Au premier contact, son corps marque un soubresaut, une contraction avant de se ...