1. L'Hirondelle qui fait le printemps...


    Datte: 08/08/2017, Catégories: fh, inconnu, jardin, collection, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral init,

    ... relâcher puis de se tendre encore un peu plus à mes premiers agacements. J’insiste jusqu’à ce qu’elle se suspende à mon cou, s’abandonne totalement et que son corps se tende de plaisir, ses lèvres toujours accrochées à ma bouche et sa langue raide me fouillant loin. Nous restons debout encore quelques minutes puis, elle retrouve sa souplesse de liane. Elle repose ses pieds nus au sol et d’un geste d’invite elle me conduit sur mon canapé. Elle m’y pousse et je me retrouve, affalé, jambes écartées, et l’Hirondelle agenouillée entre mes cuisses s’emparant de mon sexe, raide et déjà longuement excité. Dans ses petites mains aériennes et fines, ma raideur semble démesurée. Par quelques rapides coups de langue elle en humidifie la hampe, le bout, s’appliquant à distiller de petits attouchements sur le frein, puis à la base de ma pointe. À son tour elle me fait languir de plaisir et me plonge dans cette douce torpeur du plaisir qui monte dans mon ventre, le tend à faire mal. Par une manœuvre encore plus osée, elle m’avale d’un coup d’un seul, me faisant faire un bond de bonheur à me retrouver gobé par cette bouche chaude à la langue si experte. Car Eugénie semble savoir à merveille apporter du plaisir et exciter un homme là où il est ultrasensible. Avec une lenteur, ô combien exaspérante, elle enveloppe mon sexe le plus loin qu’elle le puisse puis relâche son étreinte buccale et replonge encore plus lentement, avant de changer son rythme et de l’accélérer. Déjà, je sens monter en ...
    ... moi, le long de ma hampe, les prémices de mon plaisir et, les yeux fermés, les doigts jouant dans ses cheveux, je m’apprête à goûter l’extase qui me guette et je ne manque pas d’exploser au plus profond de sa bouche. Je ne tente même pas de résister, de me contrôler. J’ai envie d’elle. J’ai envie que mon plaisir devienne aussi le sien. Et l’explosion m’expédie une brutale décharge dans les reins, dans le ventre, me faisant décoller les fesses pour mieux m’incruster dans sa bouche, jusque dans sa gorge. Eugénie ne recule pas. Elle se contente d’appesantir un peu plus le plat de sa langue contre ma hampe qui tressaute contre son palais et l’active comme si elle voulait me traire, jusqu’à la dernière goutte. Sans me lâcher, elle continue sa délicieuse caresse dans une bouche rendue brûlante par mes épanchements. Je ne veux pas reprendre mon souffle. Je veux profiter de cette excitation que je sais passagère pour me caler au plus profond de son intimité. Avec douceur, je parviens à me glisser sous elle et m’apprête à diriger mon sexe vers le sien quand, allez savoir pourquoi, une image surgie de je-ne-sais-où et hante mon esprit : celle d’Eugénie demain ou plus tard, entrain de dessiner mon dard tendu à la limite de l’explosion et oint de nos ébats. Dans mon cerveau, je n’imagine même pas, non, je vois Eugénie, gravant à petits traits mon sexe sur un papier dessin de son carnet à esquisses… Au même instant, dans le fond de mon cerveau, commence à poindre un petit rire aigu et ...
«12...121314...»