Quel temps de chien (je l'ai publiée il y a 1
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
Anal
Masturbation
... ?Bertrand le regarda confus. Pierre savait ce qui s’était passé entre lui et sa femme ! — Allez, pas d’histoires, Sylviane m’a tout raconté, dit Pierre en riant. Tu es avec nous maintenant, tout baigne !Sylviane prit la queue de Bertrand, encore raide et tendue, et le branla doucement. Elle regarde Pierre et lui demanda : — Appelles Margoth, je suis sûre que Bertrand se sentira encore mieux après. — Tu as raison, ma louloute. Margoth ?La gouvernante entra dans la pièce. Elle gloussa dans un petit rire coquin en apercevant ce petit monde dénudé et s’approcha du trio. Apparemment, elle devait être plus qu’au courant de la liberté de mœurs qui rêgnait dans la maison ! — Margoth, Bertrand va passer quelques jours avec nous. Préparez-lui sa chambre mais avant, notre jeune ami doit se soulager. — Bien Monsieur, répondit-elle en souriant à Bertrand. Monsieur a une très grosse pièce, il faudra me ménager, n’est-ce pas ? dit-elle en examinant la verge du jeune homme.Sylviane s’était levée et avait entreprit de déshabiller Bertrand complètement. Lorsqu’il fut nu, elle s’approcha de Margoth et lui glissa quelque chose dans l’oreille. Les deux femmes se tournèrent vers le sofa et Sylviane y fit s’agenouiller sa femme de chambre. Elle releva la jupe noire de son uniforme et fit glisser le slip de coton blanc le long des cuisses joufflues de la belle Péruvienne. Tandis que les deux hommes assistaient à la scène, Pierre glissa doucement à Bertrand : — C’est vrai que vous êtes monté comme un ...
... âne, jeune homme !Dans le clin d’œil complice qui suivit, Bertrand sentit la main de Pierre se refermer sur sa pine dure, qu’il masturba lentement, d’un geste expert.Sylviane commença à masser doucement la vulve de Margoth. La gouvernante se cambra sous la caresse et, toujours en levrette, tourna la tête pour mieux apprécier le spectacle.Obéissante, Margoth était aussi très chaude. Elle avait été « éduquée » par ses patrons, qui lui avaient fait découvrir la sexualité sous tous ses angles. Sylviane lui avait donné une instruction précise et elle allait bien entendu obéir à sa maîtresse.Sylviane cracha un mince filet de salive qui atterrit entre les grosses fesses de Margoth. Sa maîtresse glissa le pouce et se mit à masser sa rondelle, ointe et désormais prête à accueillir le mandrin hors norme de Bertrand. — Allez, mon grand, elle est prête, dit Sylviane. Encule-la et vide-toi les couilles dans son gros cul.Sous l’impulsion de Pierre, qui aida Bertrand à se relever, il se plaça derrière Margoth. Sylviane lui prit la bite et la guida devant la rondelle. Pierre s’était glissé derrière Bertrand. Il sentit sa main soupeser ses couilles et la bite de Pierre encore chaude lui caresser les fesses. La promiscuité des corps et la douceur des caresses tendirent un peu plus encore la grosse tige turgescente de Bertrand. — Ecarte bien les fesses, Margoth, lui chuchota Sylviane — Oui, Madame… — Allez, Bertrand, elle est à toi, fourre-lui ta grosse queue dans le culBertrand n’en demandait ...