1. Sacrilège


    Datte: 31/12/2018, Catégories: ffh, fagée, inconnu, grosseins, bizarre, laid(e)s, campagne, pénétratio, fouetfesse, nonéro, fantastiqu,

    ... sur le sol en s’agrippant à ses nippes. Celles-ci cédèrent sous son poids et dévoilèrent d’un seul coup la poitrine pendante de la vieille femme, tandis que notre jeune louve s’apprêtait à nouveau à s’élancer. L’aïeule avait lâché la cravache, elle vacillait sur place, la jeunette en profita pour s’engouffrer sous la table, pour passer de l’autre côté avant de se relever en émettant un cri strident. Un bond plus tard et elle était déjà dans la cuisine, passant comme une flèche tout près de moi, si près d’ailleurs que je sentis l’odeur du sang coagulé me monter à la gorge. L’image fugace de ces deux seins sanguinolents qui s’ébattaient sans complexe… Mais elle avait déjà filé, elle avait ouvert la porte qui menait dans la cour, avant de plonger entièrement nue dans la zone enneigée balayée par les vents. La vieille femme s’était relevée, désormais totalement dépoitraillée, elle se tenait péniblement au chambranle de la porte et me dévisageait d’un œil hagard, apparemment inconsciente du spectacle que constituaient ses seins énormes, oblongs et flasques, qui retombaient en cascade jusqu’en bas de son nombril. Je préférais pourtant cette vision à l’étrangeté dérangeante de son œil de verre. — Faut aller la chercher, faut me la ramener, me lança-t-elle sur un ton sans appel. Vous qui êtes jeune et… Elle n’ajouta pas « costaud », j’étais plutôt chétif. Elle se baissa pour ramasser la cravache, mais apparemment tous ces efforts l’avaient épuisée. Elle claudiqua péniblement vers la ...
    ... table avant de s’affaler lourdement sur une chaise. * * * Je m’avançai vers le pas de la porte. La nuit était très froide, mais beaucoup plus claire que dans mes souvenirs. Et je devinais une forme humaine à l’autre bout de la cour. Faisant fi de mes pieds nus et du vent glacial qui s’engouffrait sous mes hardes, faisant fi aussi de mon état souffreteux, je me décidai à la rejoindre. Avec obstination, pas après pas, bravant le vent glacial, creusant de grosses empreintes dans la neige encore molle, les pieds brûlés par le sol gelé… et, qui plus est, complètement hermétique aux raisons de mes actes ! Je me suis rapproché d’elle. La belle s’était roulée abondamment dans la neige, elle en avait partout, et jusque dans les cheveux. Désormais, elle s’était réfugiée juste aux abords du puits. Un rire rauque et bestial, complètement inhumain, sortait de sa bouche déformée par d’imposants rictus. Elle semblait complètement possédée et se râpait le sexe comme une damnée sur la margelle du puits. Par quelques mots mielleux, totalement inappropriés face à la situation, j’ai essayé de la raisonner. Elle a, à peine, tourné la tête, juste un semblant de seconde pour me fusiller du regard, de quoi me décourager définitivement d’approcher. Puis elle s’est concentrée sur sa masturbation contre la pierre glacée. Et, trois minutes plus tard, elle s’est mise à beugler. Une voix d’outre-tombe, monstrueuse, titanesque, une jouissance diabolique qui a transpercé la nuit d’un bruit fort et strident. ...
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