1. Sacrilège


    Datte: 31/12/2018, Catégories: ffh, fagée, inconnu, grosseins, bizarre, laid(e)s, campagne, pénétratio, fouetfesse, nonéro, fantastiqu,

    ... Par la suite, elle s’est calmée, et elle n’a fait aucune difficulté pour que je la raccompagne dans la cuisine. Je la tenais par les épaules. Malgré moi, son corps chaud et appétissant m’attirait. Elle sentait très fort la femelle, une odeur enivrante et musquée. J’ai risqué une main sur un de ses seins, toujours sanguinolent, mais recouvert de neige. Elle n’a pas protesté et s’est même laissée tripoter. J’avais honte d’en abuser. Pourtant, je l’ai légèrement caressée, sa peau sombre me fascinait. Et je n’ai finalement délaissé ce contact qu’en rejoignant la vieille, toujours affalée sur sa chaise, ses gros seins mous toujours à l’air et pendants le long de son corps. En la voyant ainsi, la sauvageonne s’est immédiatement jetée à son cou pour lui prodiguer mille baisers. Les deux femmes se sont enlacées, un grand amour semblait les unir. Je me suis senti seul, étranger, inutile. Je me suis rapproché de la cuisinière pour tenter de me réchauffer un peu. Qui étaient donc ces mégères et quel lien étrange les unissait ? (Et qui étais-je moi aussi et que faisais-je en ces lieux ?) La vieillarde caressait doucement les cheveux de la jeunette, toujours blottie contre sa gorge, elle murmurait doucement à son oreille. Et la belle ronronnait. Elles semblaient avoir oublié ma présence. Affalé sur une chaise, près de la seule source de chaleur de ce taudis, je dus m’assoupir… * * * Je fus réveillé beaucoup plus tard par le bruit métallique du tisonnier qui percutait le sol. Durant tout ...
    ... ce temps, je l’avais gardé dans la main droite, je l’avais presque oublié, il s’était comme fondu à mon corps. Il faisait toujours nuit, de plus en plus nuit. La lumière était éteinte et j’étais seul dans la pièce. Dehors, la neige continuait de tomber et obstruait désormais une bonne partie de la fenêtre. Que faisaient-elles ? Où étaient-elles ? Elles étaient montées, elles dormaient. Mais dormaient-elles seules, chacune dans leur chambre, ou enlacées dans un lit, disciples de Lesbos, leurs nudités salaces vicieusement entremêlées ? L’envie de savoir, cette curiosité malsaine qui vous force à espionner, à aller à la quête des plus petits secrets. Je grimpai à l’étage et décidai d’inspecter toutes les pièces. Au pire, je trouverais facilement à m’excuser. Après tout, je ne connaissais pas cette bicoque et je pouvais aisément me tromper… Mais RIEN ! Rien de rien. Le vide total, aucun lit n’était défait, sauf le mien qui était dans l’état où je l’avais laissé. Les deux autres chambres étaient inoccupées et la salle de bain complètement délabrée. Où étaient-elles ? Disparues, évaporées, comme le souvenir de mes dernières illusions. J’ai regagné mes pénates et me suis affalé sur ma couche. Je n’avais plus aucun espoir, même plus celui de mourir. * * * Il faisait nuit et une femme était en train de me chevaucher. Une femme horrible, une sorcière sordide qui grimaçait en d’inquiétants rictus. Partiellement édentée, avec un œil de verre. Sa poitrine était flétrie, ses deux outres ...
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