Sacrilège
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
ffh,
fagée,
inconnu,
grosseins,
bizarre,
laid(e)s,
campagne,
pénétratio,
fouetfesse,
nonéro,
fantastiqu,
... gigantesques pendaient le long de son corps. Je ne saurais trop dire à quoi elle ressemblait, je la voyais de loin à travers une espèce de brouillard. Seuls quelques petits détails de son anatomie ressortaient, toujours grotesques et répugnants. Malgré la laideur de cette harpie, la sensation procurée par son corps était particulièrement agréable. On aurait peut-être souhaité qu’elle le fût moins, mais tel n’était pas le cas : cette vieille nécromancienne sybarite était réellement experte dans l’art de l’érotisme. Quel bonheur d’être entre ses reins et de la voir se déchaîner sur ma colonne de chair ! Des lustres que je n’avais pas si bien bandé, des lustres aussi que je n’avais pas eu une telle envie de baiser. Elle riait d’un rire grotesque proche de la démence absolue, un rire caverneux et satanique. Des heures durant à me faire l’amour, sans jamais montrer le moindre signe de fatigue. J’avais à peine joui que déjà elle recommençait, jamais rassasiée, toujours en manque et plein d’entrain dans cette folle cavalcade. Tant d’éjaculations, tant de jouissances… impossible à imaginer, elle me vida entièrement jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à ce que je m’effondre comme une loque dans un sommeil profond. Et encore, elle continuait jusque dans mon inconscience, et je ressentais ses coups de reins jusqu’aux tréfonds de mes rêves… * * * Ridée et rabougrie, la vieille femme édentée était allongée nue près moi. Et elle me regardait avec son œil de verre. C’est la première ...
... chose que je vis lorsque j’ouvris les yeux. Elle semblait morte et hagarde, passablement décharnée, mais un ronflement subit la ramena tout d’un coup à la vie. C’était un jour sombre, passablement neigeux. De gros flocons ventrus s’écrasaient sur la fenêtre. Blottie dans un coin juste au pied de celle-ci, j’entraperçus la sauvageonne. Toujours entièrement nue et recroquevillée sur elle-même, elle avait la bouche ensanglantée par un morceau de barbaque. Elle était en train de dévorer un pavé de viande crue, des espèces de boyaux sanguinolents qui gouttaient sur sa poitrine. Et elle me regardait fixement, avec une intensité fatale qui ne laissait présager rien de bon. Je revis dans ma tête la scène de la veille, l’épisode de la flagellation. Cette pauvre fille allait encore devoir être châtiée. Qu’est-ce qui pouvait ainsi la pousser à dévorer tous ces viscères ? Et de quel animal s’agissait-il ? Ça me paraissait cette fois bien gros pour un simple dindon… La vieille sentait le vieux. La vieille sentait la mort. C’est ce qui me tira d’un coup de ma léthargie. L’instant d’avant, hypnotisé par la jeune femme, j’étais presque prêt à succomber à ses charmes vampiriques. Un coup d’œil sur la chaise, où j’avais laissé traîner les nippes. Un coup d’œil sur la tigresse qui semblait déjà prête à bondir. C’était l’instant ou jamais. J’ai poussé la sorcière de toutes mes forces. Elle faisait obstacle entre moi et la chaise. Le bruit mat de ses os qui s’écrasent sur le sol. Les gémissements ...