Les premières fois
Datte: 31/12/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
voisins,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
complexe,
campagne,
jardin,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sm,
gifle,
fouetfesse,
piquepince,
init,
... mes seins. Je sentis sa bouche contre mon sexe, et sa langue me pénétrer, et jouer avec mon clitoris. Puis ses dents se mirent à le mordiller doucement, pendant que ses doigts me pinçaient violemment les tétons, et que la bite de l’ami continuait à m’enculer bien profondément, avec des mouvements amples, ressortant puis replongeant dans le trou maintenant béant de mon gros cul. J’avais mal, mon cul avait été forcé, malgré le lubrifiant que mon Maître avait eu la prévention d’utiliser, et la douleur, toujours présente, m’envahissait encore plus fort à chaque coup de bite. Mon maître s’acharnait à mordiller mon clito. Ses doigts pinçaient mes seins de plus en plus fort. L’homme qui m’enculait commença à m’insulter. — Petite pute ! Trou à merde ! Vide-couilles ! A chaque insulte, il s’enfonçait plus fort, et je criais de douleur. Soudain je sentis une vive douleur au clito. Mon maître parut devant moi, et il me dit calmement : — J’ai posé une pince sur ton clito. Maintenant, regarde-moi. Il tenait toujours mes tétons très serrés entre ses doigts. Comme je ne levais pas les yeux vers lui assez vite, il les tordit. Je relevais la tête, les yeux larmoyants. Il y plongea son regard. J’étais toujours secouée par l’homme brutal qui s’acharnait dans mon cul. — Dis-moi ce que tu ressens.— J’ai mal Maître.— Veux-tu tout arrêter ? J’ouvrais la bouche pour dire oui, mais je me rendis compte que je ne voulais rien arrêter. Me faire enculer brutalement sous ses yeux, ressentir les douleurs ...
... qu’il avait choisies pour moi, me voir si chienne dans son regard, me sentir si humiliée… Tout cela m’excitait. — Non Maître. Je veux continuer… Il hocha la tête. — Bien. Je veux te l’entendre dire. Haletante sous les coups de queue qui me perforaient, j’obéis : — Je suis votre chienne Maître, je veux continuer à me faire enculer, je veux vous obéir.— Bien, soumise… Tu es donc mon objet. Tu ne t’appartiens plus, tu es ma propriété. Si un jour tu veux que tout cela cesse, il te suffira de le demander. Mais sache alors qu’il n’y aura plus de retour possible, je partirai. Au moindre manquement à mes ordres, je partirai. Tu as bien compris, chienne ?— Oui maître.— Bien. Maintenant, tu vas te comporter en vraie petite pute. Mon ami n’a pas encore joui, tu ne mets pas assez de cœur à l’ouvrage.— Que dois-je faire Maître ?— Tortille ton gros cul. Montre que tu aimes sa bite, va au-devant de ses coups, comporte-toi comme une chienne en chaleur. On dirait un gros morceau de saindoux amorphe. Je ne suis pas très fier de toi, petite traînée, tu montres une mauvaise image de moi. Je veux t’entendre hurler, je veux te voir t’activer avec ton cul, je veux voir une belle enculade. Exécute-toi. J’obéis. Je me cambrais sous les coups de bite qui me faisaient mal, je hurlais, malgré la porte ouverte, et le plaisir m’envahit, multipliée par la douleur, par l’humiliation. — Oui petite pute, cria mon enculeur, vas-y, gueule, tu m’excites, je sens ton trou à merde serré palpiter, il est en sang, ...