1. Le cadeau de Georges


    Datte: 14/01/2019, Catégories: hagé, jeunes, BDSM / Fétichisme nopéné, initfh,

    ... trop tard, n’est-ce pas ?— Encore hélas ! J’en éprouve bien des regrets… Alors pourquoi vouliez-vous me rencontrer ? Parce que j’imagine que vous aviez d’autres raisons que celles de m’encombrer de nostalgies.— Oui ! Une seconde s’il vous plaît. Nous allons y venir, mais pour l’heure, il nous faut prendre le thé ! Je regardais ce couple dépareillé. Une femme aux cheveux argentés, un homme qui aurait pu être son compagnon, mari, qui avait peut-être par le passé été son amant. Ces deux-là parlaient de ma tante avec des mots choisis, dans un langage subtil. Georges, puisque que c’était son prénom, Georges racontait d’une belle voix, quelques bribes d’histoire de cette sœur de mon père, très méconnue dans notre famille. Je saisissais là, en écoutant patiemment que la traversée de l’existence de notre Gertrude, n’avait pas toujours ressemblé à un long fleuve calme. Loin de là. Mais le bonhomme en gardait un œil attendri. Puis Geneviève finit par en venir là, où elle attendait ce Monsieur. J’écoutais ce qu’elle avait à demander à ce type qui d’un coup me paraissait plus pervers que vénérable. — Alors Georges, notre jeune amie a besoin d’une vraie éducation sexuelle, mais… comment vous dire ? Inachevée, oui c’est bien le terme… inachevée.— Vous voulez dire juste les rudiments ? Je comprends bien…— J’entends surtout par là qu’elle doit rester intacte. Vous me suivez ? Pas question de la déflorer. Pas avant sa majorité de toute manière, mais la dégrossir reste dans vos cordes ? Et ...
    ... puis je suis rassurée de savoir que votre roitelet ne bat plus vraiment des ailes… au moins ça devrait limiter les risques. Restent bien sûr votre bouche, vos mains et lui apprendre les gestes essentiels ne serait pas superflu.— Que vous ayez pensé à moi pour cet exercice délicat me flatte… assurément, je vous en remercie.— Oui, oui ! Ne nous emballons pas, nous avons d’autres candidats également à voir.— Oh ! Vous me chagrinez par ces mots. J’ai de quoi installer notre jeune amie si c’est sur ce sujet que vous vouliez dériver.— Voilà qui est des plus intéressants… l’installation… joli vocable qui résonne bien à mes oreilles… sa rente serait de… ?— Eh bien… l’appartement lui appartiendrait et mes visites limitées… deux par semaines ?— C’est à moi que vous rendriez des comptes. De plus vous ne revendiqueriez aucune exclusivité, sauf pour vos jours de visite. Si cela vous convient, voyons ce qu’en pense l’intéressée. Alors, Charlotte, donnez-moi votre sentiment sur ces arrangements plutôt… avantageux pour vous !— Il me semble que c’est juste… parfait. Et que j’aurais bien tort de ne pas m’en remettre à vous Geneviève. Mais ma tante… ?— Rassurez-vous ! Gertrude connaît depuis quelques jours les termes de ce contrat… et comme c’est elle qui vous confie à moi… enfin à nous, elle aussi saura être généreusement récompensée…— Alors ! Je crois qu’il ne me reste qu’à formuler une minuscule petite requête…— Eh bien, nous vous écoutons ma belle, Georges et moi sommes tout ouïe…— J’ai… j’ai ...
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