Le cadeau de Georges
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
hagé,
jeunes,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
initfh,
... une bonne amie que j’aimerais que nous contactions… elle pourrait peut-être aussi…— Dites-moi tout ma belle. Je me chargerai du reste si vous m’affirmez qu’elle serait d’accord pour vous rejoindre. Nous avions alors dévié la conversation sur… Adèle. Bien entendu, si Georges lui, ne s’inquiétait plus de rien, ma protectrice, elle, ne manquait pas de trouver des réponses à ses questions. Son interrogatoire dura un long moment. Puis le vieux bonhomme prit congé, me gratifiant d’un bisou sur la joue, comme il l’aurait fait à sa fille. J’étais presque aux anges, et plus encore lorsque Geneviève m’assura s’occuper de tout et contacter la demoiselle restée au pensionnat. Pas un seul instant, je doutais de pouvoir suivre les cours d’un genre si particulier dans lesquels Georges devait tenir le rôle de professeur attitré. — xxxXXxxx — Début mars 40, je prenais donc possession, acte notarié à l’appui d’un appartement dans un immeuble cossu de la butte Montmartre, à quelques pas de chez Gertrude. Georges ne s’était manifesté que pour la signature de la vente de ce nid enchanteur. Mais, Geneviève qui m’assistait dans la démarche me susurra à l’oreille que s’il avait tenu parole, je devrais bientôt également m’acquitter de ma part du marché. L’insouciance et tout à la joie de cette acquisition rapide, je lui assurai que rien ne s’y opposerait désormais. À l’issue de ces formalités, nous discutions tous un peu avec Maître Sailin, notaire qui venait d’officier. Les rumeurs revenues du ...
... front n’étaient que peu rassurantes. Partout, nos troupes refluaient en ordre dispersé. Apparemment les Allemands gagnaient du terrain partout et ceci n’avait rien de réjouissant. Il se murmurait mille récits d’atrocité sur ces féroces soldats, tous vêtus de vert et pire encore des scènes de viols se répétaient par le bouche-à-oreille. Paris, d’un coup, se sentait menacé par ces sauvages qui souhaitaient asservir l’Europe, voire le monde entier. Nous avions donc trinqué en compagnie de ce notaire débonnaire aux allures de père de famille tranquille. C’était en rentrant pour m’installer dans ce logement tout neuf que ma protectrice m’annonça qu’elle avait eu quelques nouvelles d’Adèle. Elle n’avait pas encore répondu favorablement au courrier que je lui avais transmis par le biais de Geneviève. Elle allait bien et cela me tranquillisa. Le pensionnat allait peut-être fermer ses portes, se trouvant tout proche du front. Georges aussi avait donné sa préférence pour ses visites. Ce serait donc chaque lundi et jeudi soir. Nous étions mardi, il me restait donc quelques heures pour m’y préparer. Je reçus des deux vieilles amies toutes les recommandations d’usage dans ce genre de circonstances et de rendez-vous. Je prenais donc mes marques dans mon nouvel environnement. Et la musique remplissait l’espace dès mon lever. J’usais et abusais de la baignoire qui faisait ma fierté. J’y passais un temps fou, presque plus finalement que devant la coiffeuse où je me maquillais. Je me sentais ...