Dolce Vita 8 - Suite et fin
Datte: 14/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
frousses,
rousseurs,
extracon,
alliance,
nympho,
bizarre,
caférestau,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
... souffle chaud de Balou entre ses cuisses. Deux doigts la pénétrèrent et elle hurla à nouveau en se tordant de plaisir. — Viens ! Viens ! implora-t-elle. Balou, toujours habillé, continuait sa douce caresse buccale. Cette rousse et douce toison le rendaient fou d’amour, ainsi que le parfum marin qui s’en dégageait. Les lèvres, la vulve rose, étaient de délicieuses friandises à sa bouche. Le bourgeon dressé, il le titillait, en insérant deux doigts dans cet antre d’amour. Ensuite sa bouche embrassa le ventre plat, elle remonta vers les seins majestueux aux bouts roses démesurément dressés, eux aussi. Balou prit les deux globes dans ses paumes, il les pressa délicatement l’un contre l’autre en pensant à une branlette espagnole. Marie s’était redressée. Sans un mot, elle déboutonna le pantalon de Balou. Elle l’arracha avec frénésie. Son impatience était palpable. Elle voulait le pieu de cet homme en elle. Balou s’écroula de côté sous le dynamisme de Marie. Il vit la jeunette ramper à ses pieds. Ensuite, la rousse et longue chevelure bouclée se cala entre ses cuisses. D’une agilité déconcertante, Marie se débarrassa du caleçon de Balou. Enfin, elle le vit. Il palpitait devant ses yeux. Elle remarqua qu’il était circoncis. Le gland violet et gonflé dardait vers son visage. De grosses veines bleues couraient sous la fine peau du tronc. Une toison noire et grise laissait apercevoir de lourdes bourses remplies de sève. Marie admira la grosse veine, violette elle aussi, courir du haut ...
... vers le bas de ce menhir. Elle passa sa langue rose sur ses lèvres, prête à goûter enfin à ce sucre d’orge excessivement volumineux. Balou ne bougeait plus, trop captivé par cette rose bouche pulpeuse et ce visage aux taches de rousseur, qui se rapprochait inéluctablement de son bas-ventre. Il ferma les yeux lorsqu’il vit les mains de Marie caresser ses jambes velues, pour remonter plus haut encore. La tension était à son comble, Marie le sentait. Elle savait également que Balou était sevré d’amour depuis six mois. Elle ne voulait pas risquer de provoquer une éjaculation trop rapide, mais elle pressentait que cet homme devait pouvoir redémarrer au quart de tour, après une si longue période d’abstinence. Sa tension à elle était tombée légèrement, après les orgasmes que lui avait procurés la bouche de Balou. Elle prit donc son temps pour rendre ses caresses à ce presque quadra. Balou vit la bouche de Marie s’ouvrir, une langue rose se posa sur son gland. Cette langue irlandaise lécha le membre de bas en haut. Les doigts continuaient leur tendre caresse sur ses cuisses. Seules la bouche et la langue s’activaient. Ensuite, les lèvres déposèrent un doux baiser sur les bourses. Puis Marie laissa sa flamboyante chevelure bouclée entourer la verge turgescente. Ces cheveux masturbaient ainsi cet homme. Elle l’entendait gémir son prénom. Il lui dit qu’elle était une déesse, et que cette caresse le rendait dingue. Les diaboliques cheveux roux et bouclés continuèrent leur câlin de longs ...