À vendre
Datte: 15/01/2019,
Catégories:
fh,
couple,
jardin,
amour,
vengeance,
Oral
mélo,
policier,
amourdura,
... moindre parcelle de peau de baisers avides. Elle en veut, elle en reveut, elle désire, elle exige cette passion qu’elle inspire, elle veut tout prendre, rien que pour elle ! Tel un loup affamé, Carol la dévore, l’incendie. Son soutien-gorge suit le même chemin que le T-shirt, mais elle s’en fiche, elle se laisse consumer par les nombreux baisers enflammés, sa chair frémit, son âme vibre, elle vit un gigantesque embrasement. Ses seins sont mordillés, ses tétons sont croqués, des mains insatiables les caressent, les malaxent. Dans un nouvel ouragan, elle est couverte de baisers du front au nombril, Carol n’oublie aucun coin et recoin entre les deux, aucun répit. Elle en étouffe presque : c’est à la fois si bon et si suffocant ! L’instant d’après, son short rose et sa petite culotte s’évanouissent de concert. C’est à présent une langue agile et fouineuse qui explore son intimité, de longs frissons la parcourent, intenses. Elle plante ses doigts dans la pelouse, tant l’effet est fort, intense, intenable ! Elle pourrait chasser l’intrus qui fourrage en elle impunément, mais c’est trop bon, trop délicieux, trop… Oh oui, trop ! Elle explose une première fois dans mille gémissements, son corps se cabre, ses muscles tendus à l’extrême font mal, un plaisir et une douleur mélangés… Non, oh c’est trop, trop ! Elle tente d’écarter la tête nichée entre ses jambes, mais une langue vicieuse a d’autres projets pour elle ! Elle a alors un hoquet de surprise quand une chose chaude et humide ...
... s’empare à nouveau de son petit bouton rosé et joue impitoyablement avec. Elle suffoque, sa respiration courte, un poids énorme sur la poitrine, elle perd pied, elle aspire autant qu’elle peut l’air qui se refuse à elle, puis comme un arc dont la corde cède soudainement, son corps tressaille violemment, sursaute, mille éclairs dans les yeux, mille piqûres dans les entrailles, elle crie son plaisir, elle le crie longtemps, comme si elle plongeait dans un puits sans fin… --ooOoo-- Une semaine s’est écoulée, le temps est toujours au beau fixe, ils passent beaucoup de temps dans le jardin. Elle adore ça, elle qui n’avait qu’une vieille maison croulante au fond d’une cour pavée, sans même un mètre carré de verdure, mis à part quelques pots de fleurs rachitiques. Aujourd’hui, ils viennent de manger dehors. La table débarrassée, Varina fait quelques pas dans le jardin, s’étirant comme une chatte après sa sieste. Carol la regarde, attendri. Mais il sent depuis ce matin que quelque chose la tracasse. Les yeux perdus dans le vague, elle dit alors : — Je suis étonnée que Robert n’ait pas cherché à me retrouver… Pourtant, il connaît l’endroit où je travaille, il a même le numéro de téléphone de mon service…— C’est trop lui demander, il doit simplement attendre que tu reviennes, puisque tu n’es rien sans lui.— Tu as de la mémoire…— J’ai de la mémoire quand ça va dans mon sens… et dans le tien, Varina.— Tu es… sélectif, très sélectif ! Elle s’assied à même le gazon : — Il m’a déjà foutue ...