Le musée des curiosités
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
ff,
frousses,
couple,
douche,
Oral
humour,
québec,
... Désolée, Paul, on s’est endormies aussi, ma tante et moi, un peu pas mal épuisées faut l’avouer. Pis cette bonne nouvelle, c’est quoi ? J’ouvris la bouche pour répondre, mais Pierrette arriva de la cuisine, café à la main avec juste un long t-shirt blanc sur le dos et ses gros seins qui roulaient près du nombril, les pointes bien tendues. Elle se laissa tomber lourdement à côté de moi en croisant ses jambes superbes tout en disant : — Bonjour, mon beau Paul qui bande tout le temps. Pauvre toi, tu t’es assoupi devant la télé tout seul comme un petit chien abandonné ? C’est la faute à Marie, elle m’a épuisée. Bien dormi ? Je voulus répondre encore, mais : — Pis la nouvelle ? insistama blonde.— Laisse-le se réveiller, Marie,tabarnouche ! dit-elle en me frottant l’entrejambe sans détour tout en décroisant les cuisses. Son t-shirt était si remonté que j’apercevais sa toison rousse. Petit Jésus ! Complètement paniqué, je pris une grosse gorgée de café. J’ai toujours eu des érections matinales presque douloureuses, et là… rien. Marie soupira en se levant pour s’asseoir à ma droite et croisa bras et jambes. Ses pantoufles roses à longs poils me firent mal aux yeux et ses seins généreux sortirent quasiment du pyjama. J’apercevais même un de ses magnifiques mamelons brun pâle. Bien des hommes auraient vendu leur âme au diable pour être à ma place présentement. Il y avait des tas de vidéos d’elle sur YouTube, se penchant en décolleté ou des extraits de bulletin de nouvelles qu’elle ...
... animait autrefois où elle était particulièrement sexy. Mais ces décolletés n’étaient jamais très plongeants, Marie était très prude, c’était une grande timide, ma femme. — Bon, y est réveillé, là, pis ? fit-elle amusée en secouant les épaules faisant remuer sa poitrine que je fixais toujours. Ses seins lourds et tous blancs s’entrechoquèrent joliment, mais cela me laissa de marbre. — Ben non, objecta Pierrette, regarde : ses yeux sont tout vitreux.— Ça, c’est à cause de ta main, Pierrette.— Tu penses ? Elle l’enleva et rajouta : — Mais non, ma grande, ça reste vitreux. Là, elles rirent un bon moment puis Marie m’agrippa solidement par le col de chemise et mefrencha avant de me dire : — Tu parles ou tu meurs, mon petit cœur. Je clignai des yeux et lui annonçai la nouvelle sur le même ton que le gars qui lisait les avis de décès le soir à la télé quand j’étais jeune. Comme prévu elle sauta de joie au milieu du salon en imitant un joueur de hockey qui vient de marquer son premier but de la saison, mais au printemps. Un de ses seins magnifiques sortit du pyjama, wow ! Mais toujours pas d’érection. — Maudit vaudou ! murmurai-je avant de prendre encore du café. Tout me revenait tout à coup. — Quoi ? demanda Pierrette en croisant à nouveau les jambes. Le rouge sur ses ongles d’orteils me fit cligner des yeux. — Popa bande pu !— Ben oui ! confirma Pierrette en me tâtant le paquet comme il faut. C’est la fatigue, Paul, ce n’est pas grave, voyons !— Plutôt la belle Tahina, hum ! fit Marie ...