Le musée des curiosités
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
ff,
frousses,
couple,
douche,
Oral
humour,
québec,
... décida Marie en m’enlevant mon café pour le poser sur la table du salon et me prendre par le bras en me forçant à me lever. Allez, viens, monsieur vaudou, on va s’occuper de ton cas.— Tu vas voir, mon Paul, fit Pierrette en posant sa tasse à son tour pour me prendre l’autre bras et m’entraîner toutes les deux vers les escaliers, t’auras pas besoin de gri-gri pour bander avec nous. Hein, Marie ?— Ça c’est sûr ! Sinon, je m’appelle pu Marie Lemieux.— Ouais, fit Pierrette, ça va venir raide, ton affaire, comme un… Eh ! Aide-moi, Marie.— Ben oui… un… un pilier de pont. Il y eut un silence et ce fut le fou rire des filles en grimpant les marches. — Un pilier de pont ! s’exclama Pierrette les larmes aux yeux. Seigneur, Marie !— Ben quoi, je sais pas, moi, je n’écris pas de porno. Un manche devadrouille c’est tu correct ?— C’est plus raisonnable. Encore des rires et Marie glissa sur une marche, perdit l’équilibre et dévala les escaliers sur le ventre jusqu’en bas, suivie de quelques statuettes, plusieurs livres et une hermine naturalisés qu’elle avait accrochés au passage. Elle en avait quasiment perdu son haut de pyjama. Je la regardai l’esprit vide réalisant que je n’avais même pas essayé de la rattraper. — Ça va, ma grande, rien de cassé ? demanda Pierrette pas vraiment inquiète, trop habituée à ces petites chutes quasi quotidiennes. On entendit des jurons à faire rougir le gars qui fouettait les esclaves à la joyeuse époque des galères romaines. — Outch ! Mes boules,sacrement ! ...
... fit-elle finalement en roulant sur le dos péniblement tout en se massant les seins puis un tibia.— On t’attend dans la douche, ma belle. Viens, Paul.— Maudite pantoufle ! cria ma blonde en s’en débarrassant. — Va falloir te trouver un nouveau nom, Marie. Il n’y a rien à faire.— On dirait bien. Elles eurent beau se frotter toutes les deux contre moi et de toutes les manières possibles ; me caresser, se caresser en se savonnant, me sucer ensemble sous le jet d’eau, mais… rien à faire, mon petit gri-gri refusa de monter même quand Pierrette, pliée en deux devant moi, réussit à le glisser dans son sexe. Marie m’avait alors agrippé par les hanches pour me pousser du bassin pour que je baise la tante. Mon membre s’étira, mais refusa toujours de bander. Découragées, elles avaient fini par renoncer. — Carole, ouais, t’as une face de Carole, ma grande, ou de Lili, dit Pierrette en se frottant la poitrine puis le ventre. Ouais, Lili Lemieux, ça sonne bien.— Ça fait danseuse nue, Pierrette. Marie se lavait la tête et commença à se déhancher sous le jet d’eau imitant une effeuilleuse en nous regardant tout sourire et… elle dérapa en s’accrochant à nous, paniquée. On se retrouva tous sur le cul bras et jambe entremêlées en geignant de douleur. —Maudit ! Que t’es dangereuse ! lâcha Pierrette sous moi.— Manoune ! se plaignit Marie, ses longs cheveux roux plaqués sur le visage en enlevant mon genou d’entre ses longues cuisses pour se prendre le sexe à deux mains, compressant sa belle toison ...