1. Moi, Daniel, SDF


    Datte: 02/02/2019, Catégories: fh, pénétratio,

    ... chez ce sous-traitant. Il m’a reçu aimablement, m’a demandé si je pouvais faire un essai d’une semaine. Naturellement, j’ai accepté. Il se chargeait de prévenir mon patron. J’ai cherché un hôtel, m’interdisant de retourner chez mes amies, ne voulant pas leur donner de fausse joie. L’après-midi, je débute dans le bureau de dessin ; on me confie un projet assez simple. Je connais le logiciel que je dois utiliser, c’est celui sur lequel je travaille habituellement. C’est une pièce destinée à ma boîte, je connais déjà quelques éléments de ce travail. Je rends mon épreuve dans les délais convenus. Le directeur m’a reçu et demandé si cet emploi me plaisait. Je lui ai répondu que j’étais enchanté. Mais je suis reparti sans connaître sa décision. Après un week-end, naturellement merveilleux, j’ai regagné mon domicile et le lundi retrouvé mon travail habituel. J’ai espéré toute la journée une information du responsable du personnel, mais rien. Ce n’est que le jeudi qu’il m’a convoqué. Est-ce que je voulais quitter mon poste pour raison personnelle, ou est-ce parce que le travail me déplaisait ? Je lui ai assuré que j’étais très bien ici, mais éloigné de mon amie. C’était un mensonge plausible. — Alors, j’ai une proposition à vous faire. Notre sous-traitant est prêt à vous embaucher à la fin du mois, et vous servirez de liaison entre nos deux entreprises. Mais vous ne faites plus partie de notre société. Cela vous convient-il ? À mon sourire, il a compris que j’étais d’accord. Je ...
    ... prendrai mes nouvelles fonctions le premier jour du mois suivant, un jeudi. Je n’ai rien dit aux femmes. Simplement, le mercredi soir je sonne à la porte de leur logement. Leur air ébahi me fait sourire. Naturellement, elles m’acceptent, et me demandent la raison de mon arrivée impromptue. — Vous m’avez offert de m’installer ici : je viens. Que je paie un loyer ici ou là-bas, c’est équivalent. Et en plus j’aurai deux femmes pour me servir. Elles expriment leur joie par des embrassades. Je dois leur expliquer les raisons de ma venue. Quand elles apprennent que je vais travailler ici. Anne me regarde avec un sourire en coin : j’ai rempli les conditions. J’ai débuté le lendemain dans mon nouvel emploi. Le patron semble satisfait de moi et m’a proposé un contrat à durée indéterminée, que j’ai naturellement accepté. Les formalités pour la reconnaissance du petit Jacques ont été rapidement effectuées. Mais mon problème, c’est que je suis entouré de deux très belles femmes ; je ne peux en avoir aucune, ni amener une maîtresse. C’est difficilement tenable. Devant mon air soucieux, un jour où nous étions seuls, Anne m’a demandé quelle en était la raison puisque Jacques était maintenant mon fils. — La raison est simple. Je suis entouré de deux magnifiques femmes et je ne peux en baiser aucune : toi, tu te refuses ; et avec Nancy, nous avons eu trop de problèmes.— Mais que les hommes sont bêtes ! Nancy est folle de toi ; pourquoi crois-tu qu’elle ait appelé son fils Daniel ? Mais comme toi, ...