Moi, Daniel, SDF
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
fh,
pénétratio,
... elle croit que vos anciennes disputes lui interdisent tout espoir. Attaque-la et tu verras : elle te sautera au cou. Je t’aiderai. Le même soir, dès que le dîner a été terminé, Anne a prétexté une grande fatigue et s’est éclipsée. Les enfants dormaient, nous étions seuls. Nous sommes allés voir la télé, installés sur le canapé. Subrepticement j’ai étendu mon bras au-dessus de la tête de Nancy. Elle s’est un peu penchée et mon bras a glissé sur ses épaules. Elle s’est redressée ; ma main pendait au-dessus de sa poitrine. Doucement, mes doigts ont effleuré son sein. Elle a tourné son visage vers moi. Je l’ai regardée avec un sourire ironique. Elle m’a alors sauté dessus, sa bouche violant la mienne. Notre baiser a été très long, et surtout torride. Puis elle m’a regardé. — Depuis que j’attendais ça… Tu t’es enfin décidé ! Je t’aime.— Oui ; mais si j’ai fait ça, c’est seulement pour que tu me laisses reconnaître ton fils. Surprise, elle s’est demandé si j’étais sérieux. Puis, voyant mon sourire, elle a compris que moi aussi je l’aimais. — J’avais peur que tu tombes amoureux d’Anne. Je l’aurais accepté, mais j’aurais été triste. Je n’aurais plus jamais aimé aucun homme.— Mais peut-être qu’elle éprouve envers moi les mêmes sentiments que toi. Je ne lui ai pas demandé. Je la questionnerai : si elle te cède la place, je pourrai toujours la dépanner le cas échéant.— Salaud ! Nous n’avons pas encore baisé et tu penses déjà à me tromper avec ma belle-mère !— Avoue qu’elle doit ...
... valoir le coup. J’aimerais bien comparer ; avec ton autorisation, naturellement.— Nous discuterons de cela plus tard ; viens plutôt me montrer tes talents. Nous sommes allés dans sa chambre et nous nous sommes aimés. Elle n’avait pas l’expérience d’Anne, mais je compléterai son éducation. Elle a particulièrement apprécié ma prestation, compte tenu de tous les soupirs qu’elle a émis. Nous nous sommes endormis enlacés. Réveillé le premier, je me suis levé doucement. Dans le couloir, on entendait babiller les enfants. Anne arrivait de la cuisine pour s’en occuper. — Cette nuit, je n’ai pas bien dormi. J’ai entendu des gémissements ; je craignais que les enfants soient malades. Mais non, ils dormaient bien.— Demande à Nancy : elle pourra peut-être te renseigner. Je suis parti follement heureux de cette nouvelle situation. Je vais avoir deux fils, qui porteront mon nom. L’un a déjà mon prénom, l’autre est vraiment de moi. Et en plus j’ai une femme magnifique. Quand je suis rentré à midi, un tourbillon s’est abattu sur moi : une tornade nommée Nancy. Elle a violé ma bouche, s’est pendue à mon cou. — Attends, que va penser Anne si elle nous voit ?— Je lui ai tout dit, que nous nous aimons, que tu reconnaîtras mon fils.— Mais j’aurais aimé comparer auparavant, savoir si elle vaut le coup.— Je t’y autoriserai peut-être, si elle accepte. Anne, qui s’était approchée, a entendu et souri. Je crois qu’elle ne refusera pas si on lui en fait la demande. Que désirer de plus : deux enfants qui ...