Moi, Daniel, SDF
Datte: 02/02/2019,
Catégories:
fh,
pénétratio,
... continuait à me tutoyer, preuve de détresse, peut-être d’amitié ou de reconnaissance. Je la plaignais de se trouver dans une telle situation. À trente ans, elle voyait sa vie finie. Plus aucun espoir. — Non Anne ; tu es jeune, belle, tu as un bon métier que tu aimes : il te faut te reprendre.— Mais je n’ai personne qui me comprenne, à qui me confier. Nancy m’a abandonnée.— Mais ce soir je suis là. Demain sera un autre jour. Elle a tourné son visage vers moi. Devant tant de détresse, je l’ai embrassée sur la joue, par compassion. Elle s’est retournée, m’a pris la tête à deux mains et a violé ma bouche, qui n’en espérait pas tant. Déchaînée, elle s’est jetée sur moi, arrachant mon tee-shirt. Je suis entré bien volontiers dans son jeu, même si pour elle c’était seulement une thérapie. Nous nous sommes aimés sur ce canapé. Je ne sais qui a violé l’autre. C’est une maîtresse ardente et expérimentée. Notre combat a été court. Elle chassait son angoisse, moi je soulageais mon trop-plein avec une femme magnifique. Il y a longtemps que je n’avais pas touché une fille. Elle s’est allongée dans mes bras. Son visage était détendu, elle avait un petit sourire aux lèvres. — Daniel, pardonne-moi, mais je n’ai pas pu résister. Tu es très gentil, et en plus jeune et beau. Tu viens de me soulager de mon angoisse.— Anne, je suis prêt à renouveler le traitement.— Alors, je vais en reprendre une deuxième dose, il est tellement bon… En souriant, elle m’a pris la main et m’a entraîné dans sa ...
... chambre. Je l’ai déshabillée ; elle avait un corps magnifique. La plénitude de la trentaine. Je me suis débarrassé de mes vêtements. Nus, l’un contre l’autre, nous avons vraiment fait connaissance. J’ai goûté toutes les merveilles de son corps. Sa bouche, ses seins, son buisson. Elle ronronnait doucement, guidant ma tête là où elle voulait être caressée. Elle m’a rendu la politesse. Sa bouche a trouvé tous mes points sensibles. Mais j’ai connu le paradis quand ses lèvres se sont emparées de mon sexe. J’étais dans un puits de velours, taquiné par une langue habile. En femme d’expérience, elle ralentissait quand elle sentait les pulsations de mon organe, prêt à éjaculer. Puis elle s’est allongée, me tendant les bras. Je suis entré dans le paradis. Son vagin me massait, se serrait ; c’était merveilleux. Notre étreinte a été longue ; nous sommes parvenus à prendre un plaisir simultané. Nous sommes restés enlacés, puis nos corps se sont séparés. Couchés côte à côte, main dans la main, nous avons savouré ce moment merveilleux. C’est le réveille-matin qui nous a tirés de notre sommeil. Me regardant, elle a souri. — Daniel, il me faut me lever, sinon je serai en retard. Mais attends ce soir, je te revaudrai ça. J’ai passé une journée merveilleuse, rêvant de la prochaine nuit. Le soir est arrivé et le jeune couple a surgi. J’étais dans la cuisine. J’ai entendu une exclamation : — Il est encore là ? dit Nancy. Tu n’es pas arrivée à t’en débarrasser : je vais m’en charger. Le merveilleux ...