1. Renaissance pour tous (1)


    Datte: 06/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mon ex qu’il est parti et cela fait pile deux mois de ça. — La pauvre, elle doit être encore sous le choc. — Je veux, mais pourtant, cela m’attriste si tu veux tout savoir. — Tu sais, je suis psy, tu peux tout me dire. Je n’ai rien ajouté, parce qu’il n’y avait rien à dire de plus. Mon feu s’éteignait tranquillement, je le regardais, fumant encore mon bon Churchill Morning. Ma douce en prit même une bonne bouffée, le trouvant bon. Pour finir, je rassemblais les cendres que je plaçais dans un seau en métal. Nous avons regagné l’appartement, je posais les cendres sur mon balcon. Ma douce se mit en tête de changer les draps de mon lit. Je lui pris la main, ouvrait mes armoires. — T’as le temps de donner ton congé et déménager chez moi si tu veux réellement vivre avec moi. — Je le veux Maître, plus que tout au monde. Un mois devrait suffire pour trouver un nouveau locataire. — Alors va pour un mois. Mais je t’accorde quand même deux mois. — Le Maître désire me voir annelée? — Alors trois mois. C’est le temps qu’il faut pour que tout cicatrise. Je viens de le lire. J’ai même signé le contrat qui nous lie désormais. Je ne l’ai pourtant pas encore daté. Il le sera une fois que tu seras chez moi. — Bien Maître. Il me plait de vous dire que je vous aime depuis notre première entrevue. — Parce qu’on s’est déjà vu? — Une fois, tout au début, pour examiner votre demande de rente invalidité. C’était avec votre correspondant de l’agence. — Monsieur Pignolet? — Oui, lui-même. — À vrai ...
    ... dire, si je le croisais dans la rue, comme pour toi, je ne vous reconnaîtrais même pas. — Moi si, je connaissais la date de tous vos rendez-vous et je guettais votre arrivée comme votre départ. — Vilaine fifille, on m’espionnait alors. — Je le confesse, Maître, cela mérite une nouvelle fessée, ne le pensez-vous pas? — Si. Je retirais ma ceinture, la pliais en deux pendant qu’elle retirait sa robe. Nue, ses fesses encore rouge de la dernière, je ne le frappais pas très fort, juste pour la chauffer et la mettre sur orbite. Le dimanche, toujours aussi diaboliquement sexy, on s’est rendu chez ma sœur. Elle, plus sombre, portait une vieille robe et très longue qui la vieillissait. Autour d’un verre, Isabelle m’expliqua comment tout était arrivé. Comme pour moi, il était parti du jour au lendemain sans ne rien prendre que ce qu’il portait sur lui. Cependant, Isabelle les a aperçus à plusieurs reprises dans la région, à croire que le couple y avait élu domicile sans chercher à se cacher. Isabelle croit même savoir où ils vivent. Bref, ayant envie de définitivement tourner la page, je n’écoutais plus ma sœur. Martine, psychologue de profession, commença vite à lui poser des questions plus insidieuses, presque intimes. Isabelle répondait à toutes les questions et sans détour en plus. J’en appris plus sur ma sœur durant cette visite que dans toute une vie. Certes, Isabelle a toujours été mon idéal féminin. Pour moi, elle est et reste la femme physiquement parfaite. De ce côté, Martine lui ...
«12...101112...16»