Renaissance pour tous (1)
Datte: 06/02/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... la journée. Je ne lui interdis pas de jouir. Parfois, sur ordre, elle se branle devant moi, accroupie, vulgaire, exposée à mes désirs salaces enfouis. Plus je me montre vulgaire, plus elle aime. Puis, ni tenant plus, elle enfile sa petite robe, me prie de patienter, prenant son trousseau de clef, elle sort. Elle revient quelques minutes après, une lourde valise à la main. Devant moi, elle l’ouvre. Il y a tout ce qu’il faut pour entraver, malmener, punir et endolorir son corps. De la corde aux menottes, en passant par le fouet cruel à la bougie, des pinces lestées lourdement aux bougies, tout y est, même un cilice aux pointes bien pointues. Elle m’avoue posséder ce matériel depuis sa soumission, trophée de guerre prise à son Maître le jour de son départ pour ailleurs. Elle s’était sentie abandonnée et, avant de le quitter, lui avait volé ce matériel. Dans ma main, je tiens cette longue cravache d’équitation, je le sais, mon père en avait une semblable. Je sais aussi ce que cela fait, mon père s’en servait sur moi et ma petite sœur. Ma petite sœur, je n’ai plus de nouvelle depuis ma séparation d’avec mon ex. Je les savais grande copine, du reste, c’est ma petite sœur qui me l’avait présentée. Nota-bene, l’appeler dès mon retour chez moi. Là, c’est la croupe de Martine que je flagelle légèrement. Penchée en avant, sa robe retroussée sur ses reins, elle m’offre son cul à fustiger. Je m’essaie au martinet et même avec cette longue baguette de noisetier encore bien souple vu son ...
... état. "Tu sais, si tu le veux, je suis partante pour que tu m’oblige." "Je veux bien, tu me plais. Avec toi, je reviens à la vie et si tu savais ce..." "Chut, je le sais très bien, mieux même que tu ne te l’imagine. À vrai dire, je te connais depuis que j’ai eu ton dossier en main. c’est même moi qui ai fait en sorte que tu sois placé dans cette fondation. Je sais non seulement ce que tu as vécu, mais tout de ta vie antérieur. Je travaille pour l’assurance invalidité." "..." "Tu pleures?" "Non, j’ai une grosse poussière dans l’œil." Elle me serre dans ses bras, je lèche mes larmes. Soudain, mus par une force herculéenne, je la soulève, la fait valser dans les airs et la couche sur le sol en douceur. Je me glisse entre ses cuisses et la pénètre en force. Je ne lui fais pas l’amour, je ne la baise pas, je la viole et pas seulement son con, mais son cul y passe et sans autre douceur que ma rage de vivre. Je ne suis plus l’amant, mais le sauvage que je pouvais être quand je rentrais de deux semaines de route. Je suis en rut, brute épaisse qui n’a pas eu de femme depuis le départ de mon ex, deux ans sans femme. Je suis l’animal préhistorique qui baise que pour son plaisir et plus pour celui de sa compagne. Je baise, j’encule et, sans le vouloir, fait jouir ma partenaire bien docile. Pour elle, à l’entendre, mon côté sauvage, brutal est un régal. Elle ne cesse d’hurler de plaisir jusqu’à ma gifle, geste inconscient, brutal, commandé par la pensée de mon ex. Là, je suis confondu en ...