Mon enfer (7)
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Divers,
... tête et en bon avocat qu’il est, Gilles repart sur son sujet favori. Le flic lui donne raison ce qui du coup, a le don de me mettre en pétard. Pourquoi aucun d’entre eux ne veut-il pas comprendre que je ne veux que la tranquillité, que j’en ai soupé des tribunaux et des regards salaces de ces personnes toujours bien intentionnés, qui n’hésitent pas à vous enfoncer, pour peu qu’ils bénéficient d’une infime dose de pouvoir ! Ceux-là qui n’écoutent qu’eux ! Je ne veux plus avoir affaire à ces gens-là. J’ai la nette impression que l’argent est le moteur de la conversation de nos deux hommes maintenant, devant nos assiettes qui ne se vident pratiquement plus. Les points de vue convergents du policier et de l’avocat rebondissent sur le mur de mon incapacité à me faire entendre. Mais sur ma cheville c’est un pied nu qui glisse, tentant une montée plus haut sur ma cuisse. La position de Jean-Marie à table, lui interdit de pouvoir faire ce genre de déplacement. Alors je lève les yeux vers la seule qui peut pratiquer cet alpinisme mondain. Les regards sont implorants et je ne peux plus me dépêtrer de ses orteils qui griffent ma jambe de la cheville au genou. J’ai beau reculer sur la chaise, elle trouve toujours le moyen de revenir à la charge et je ne veux pas d’esclandre. La main de Jean-Marie, au vu de tous, me caresse les doigts et le pied de Francine se faufile sournoisement plus haut que la décence ne l’autorise. Seul notre bon conseil ne s’aperçoit de rien. Il est perdu dans une ...
... démonstration magistrale qui incendie la justice et ses mauvaises manières, martelant sans arrêt que quand on fait des « conneries » on doit payer cash ! Et de surenchérir que moi, j’ai bien payé sans en faire… et le pire c’est que mon galant, mon malaxeur de phalanges, lui emboite le pas dans cette voie. C’est bien ce que je dis et pense, aucun des deux ne se soucie de mon avis. Je commence à me prendre les boules de cet état de fait et le sang bout en moi. Ce sont encore Alix et son frère qui sauvent la situation, tuant dans l’œuf le vent de contestation que je m’apprête à faire souffler sur ces deux qui s’arrogent des droits qu’ils n’ont pas. Francine se lève pour aller coucher les gosses. Alors pour éviter un incident toujours possible, je la suis. Au moins pourrais-je désamorcer sa colère… enfin je le souhaite. Mais elle ne prend pas cela comme je l’imagine. Elle se persuade que c’est pour toute autre chose que je monte les escaliers qui mènent aux chambres des enfants. Dès qu’ils sont couchés, elle me coince dans un petit racoin et j’ai droit à une nouvelle pelle que je ne sais pas refuser. Sa main voyage rapidement sur mes seins et quand elle s’aventure sous l’élastique de ma culotte, je ne peux reculer, empêchée en cela par la cloison contre laquelle je suis appuyée. J’ai droit à un passage de ses doigts sur la foufoune et loin de me laisser insensible, j’avoue qu’elle me fait mouiller cette cochonne. J’arrive à me dégager et je redescends vers l’endroit où les deux ...