L'hôtel de tante Clarisse
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
jeunes,
frousses,
inconnu,
oncletante,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
hotel,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
... m’avait laissé faire et s’était même laissé tripoter les miches, alors qu’une heure plus tôt elle avait refusé avec obstination de nous dévoiler sa poitrine. J’avais déjà ce privilège… En avais-je d’autres ? — Il paraît que j’ai le droit d’abuser de toi de « toutes les façons »… J’ai même le droit de t’enculer, tantine ?— Petit cochon.— Réponds-moi, as-tu envie que je te troue le cul, comme tu m’as vu le faire avec Juliette ?— Oh ! (Paraissant choquée)— Avoue que tu t’es bien rincé l’œil ce jour-là ! Quand tu as vu ma bite enfoncée dans les fesses de Juliette.— Arrête, je t’en prie.— Tu as bien dit : « de toutes les façons », cela vaut aussi pour ton petit cul. En plus, je suis sûr que ça t’excite d’imaginer ma trique enfoncée dans ton petit trou. Je l’ai fait se retourner et je lui ai à nouveau léché l’anus. — Ça fait plus de dix ans, finit-elle par confesser timidement. Et j’ai toujours eu mal quand mon mari me le faisait.— Je vais être très doux, tantine, et je suis sûr que tu vas aimer. J’ai glissé un doigt mouillé dans son fondement. Un premier, puis un deuxième. J’ai porté mes doigts à mon nez, elle sentait bon du cul. Sodomiser le gros cul de tante Clarisse, je trouvais cela délicieusement pervers. Je bandais comme un cerf devant cette perspective. Mais, alors que j’allais prendre une capote, elle intervint : — Non, je préfère sans capote. Je suis saine, et j’ai très envie de sentir ton jus couler en moi. J’hésitai un quart de seconde mais, après tout, pourquoi pas. Ce ...
... soir-là, elle avait le feu au cul mais, d’ordinaire, elle était beaucoup plus sage. Ce ne devait pas être non plus le genre à avoir plein d’aventures. De nouveau, je lui léchai l’anus en admirant son gros cul, son gros derrière blanc, ses fesses énormes, rondes, blanches. Ma bite rentra en elle sans trop de problème. Dire que j’étais en train de bourrer le gros cul de tante Clarisse ! J’avais du mal à m’en convaincre. Pourtant c’était bien ma bite et c’était bien son cul et sa grosse paire de nichons bien gonflés écrasés sur le lit. Je jouis probablement trop vite pour qu’elle prenne réellement du plaisir à cet enculage. Mais, trop excité par cette situation cocasse, je me vidai entièrement dans les intestins de Clarisse, en braillant comme un ours avant de retomber lourdement sur elle. Elle finit par se dégager et par se retourner. Désormais complètement à poil et rouge jusqu’aux oreilles, elle avait encore envie de se faire ramoner. Sans hésiter une seconde, elle emboucha ma queue souillée par son cul et entreprit de lui redonner vigueur. J’avais quelques doutes sur ma capacité à jouir trois fois dans la même soirée. Pourtant une bonne pipe experte et le malaxage intensif des gros nibards de tantine eurent raison de mes incertitudes. — Viens sur moi chéri, viens bourrer ta salope de Clarisse, j’ai très envie de ta queue en moi, viens me la mettre, je n’en peux plus d’attendre, je suis en feu, baise-moi, enfile-moi, bourre-moi, chéri ! Je ne me le fis pas dire deux fois, je ...