L'hôtel de tante Clarisse
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
jeunes,
frousses,
inconnu,
oncletante,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
hotel,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
... pris mon sexe en main et le lui enfonçai d’un coup sec dans la chatte, elle poussa un "Oh" de surprise. Quand je fus enfoncé complètement en elle, je restai immobile un instant savourant cette chatte juteuse. Puis, très lentement, j’entrepris de longs va-et-vient, ressortant complètement, entrant à nouveau dans son con baveux, ses grandes lèvres m’aspiraient comme une ventouse, quelle formidable sensation, quelle femelle en rut ! Je me mis à la pistonner sans aucune douceur à présent, je lui donnais de grands coups de reins, j’appréciais la parfaite salope qui était en elle. Elle poussait des cris de plus en plus forts, elle se pressait les seins en tirant sur les mamelons. Elle remuait son corps dans tous les sens, le lit craquait atrocement à chaque mouvement, de quoi en faire profiter tous nos voisins. Je donnai encore quelques coups de rein puissants et me vidai cette fois dans son ventre, je crachai toute la sauce en même temps qu’elle criait son orgasme. La semence s’écoulait entre ses cuisses, je tombai sur elle, épuisé, nous étions en sueur, exténués, nous nous endormîmes ainsi, l’un dans l’autre. Au petit jour, j’eus l’immense surprise de la retrouver à nouveau entre mes cuisses en train de me sucer. D’une gourmandise peu commune, elle m’astiqua à fond et me fit tout cracher. Elle avala sans rechigner en me pressant les couilles pour me vider entièrement. Par la suite, elle m’avoua : — Du moment où je t’ai vu à la gare, j’ai eu envie d’être baisée. Je n’avais jamais ...
... ressenti une telle envie auparavant. Depuis ce jour, je me suis presque masturbée tous les soirs en pensant à toi. Et puis, quand j’ai découvert que tu couchais avec Juliette, j’ai été hyper jalouse. Cela faisait plusieurs fois que je vous avais repérés. Mais cette fois-là dans la salle de bains, je n’ai pas pu me retenir de rentrer… Et quand j’ai vu ce que vous faisiez ! Cela m’a rendu malade, à tel point qu’hier soir j’ai eu envie de te rendre la pareille en m’offrant à ce vieux porc. J’ai envie d’être à toi tous les jours que Dieu fait. J’ai envie que tu me prennes à la va-vite dans la lingerie, comme Juliette. J’ai envie que tu uses de moi de toutes les façons, selon ton bon plaisir, que tu me violes, que tu m’encules. J’ai envie d’être ta pute, ta grosse salope. Je sais que je ne suis plus de première jeunesse, je sais que je n’ai pas le droit de te demander de m’être fidèle, mais je suis prête à toutes tes incartades. Du moment que tu la baises, tante Clarisse est prête à tout, et même à faire de toi son héritier testamentaire. C’est ainsi que, cancre à l’école, j’ai eu droit à l’amour, à l’argent et à une femme particulièrement vicieuse. Depuis, la famille a découvert le pot aux roses et ça a fait un sacré scandale. Cela ne m’a pas empêché de rester avec Clarisse, ni d’engrosser la bonne. À l’hôtel, les nuits sont souvent très chaudes et il n’est pas rare que j’offre ma femme à des clients. Clarisse se prête en général à mes caprices de bonne grâce et accepte même de ...