1. retour de vacances (1)


    Datte: 19/08/2017, Catégories: Divers,

    ... moi pour atteindre son plaisir. Mais ce n’était pas l’homme dont j’étais amoureuse, qui me paraissait soudainement inconsistant. C’était un songe plus qu’un homme, ce songe croisé devant une machine à café, dont j’ignorais tout, et étrangement volatilisé. Avais je rêvé ? On est passé devant une BM en revenant à la voiture ; tout à l’heure, je ne l’avais pas remarquée, mais il faut dire que je ne l’avais pas cherchée. Ca pouvait être la sienne, ça pouvait être celle d’un autre. Arrivant à la voiture, toujours silencieux, je passe côté passager pendant que Philippe actionne sa télécommande, les clignotants de la Jaguar se signalent dans la nuit, et, en ouvrant la porte, je sens une main se poser sur mon épaule. Je suis à ce point surprise que je sursaute et pousse un petit cri. Mais je n’ai pas besoin de me retourner pour reconnaître sa présence. C’est son odeur, ce magnétisme déjà ressenti devant la machine à café. Le rêve se poursuit, m’entraîne. Déjà, la main, douce et volumineuse, m’enserre l’épaule et je me sens aller à l’abandon lorsque sa bouche chaude embrasse mon épaule. Je ne résiste pas, je frissonne en fermant les yeux et me laisse emporter. Jamais je n’aurais cru que je pourrais faire çà devant Philippe. Il me tourne contre lui, me fait valser, et sa bouche se colle contre la mienne, sa langue me pénètre. Je me délecte de cette bouche qui me fouille, que je fouille, dans laquelle je disparais, de ces épaules dans lesquelles je me cache. Plus rien d’autre n’existe. ...
    ... Je t’ai tant attendu, bel inconnu. Prend plaisir de moi, je m’en remets à toi dans mon abandon. Sa main dans le bas de mon dos me colle contre lui et je le respire, son autre main attrape un sein et le presse, le pouce et l’index se resserrent sur le téton qu’ils pincent, petite fraise qu’ils font bander encore plus, et puis l’abandonnent. Vivace, cette main glisse sur mon ventre et en longeant l’aine, se pose entre mes cuisses qui s’ouvrent sans se faire prier, brûlantes de désir. La seule chose que je puisse faire, c’est m’attacher encore un peu plus à son cou. Et la main remonte dans mon dos et me plaque un peu plus contre lui, alors que l’autre m’enlève du sol, oups. Ses lèvres quittent les miennes et viennent poser des baisers humides dans mon cou, et il me dépose sur le capot encore chaud de la Jaguar, et ce sont ses deux mains et sa bouche qui viennent fouiller mon corps, se délectent de le faire frissonner. Je m’ouvre sans pudeur, plonge mes doigts dans sa chevelure et appuie sa tête contre mon corps, quand il sort la pointe d’un de mes seins du bonnet de soutien gorge et l’agace de la langue, quand il embrasse chaleureusement mon ventre alors que ses mains s’attardent sur mes petits seins, quand il plonge enfin entre mes cuisses et que sa salive vient se mêler à mon envie après avoir si promptement soulevé ma robe et écarté ma culotte. Sa langue chaude se fourre là et m’explore en me tirant des gémissements que je ne puis retenir quand elle embrasse mon bouton après ...
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