1. Le nouveau chef


    Datte: 27/03/2019, Catégories: f, fh, Collègues / Travail hotel, amour, cérébral, conte,

    ... dis-je. Au moment où je sors cette phrase je me maudis, pourquoi ne lui ai-je pas dis : — tu viens dans ma chambre, j’ai trop envie de sentir ton sexe me prendre ?— Déjà ! Répond-il, tu ne veux pas qu’on boive un dernier verre avant ? (Non, je veux que tu me boives, moi !) — Ok, nous le prenons où ?— Si je te propose de venir dans ma chambre, ça te va ? Mon hochement de tête remplace un oui qui aurait été un : —oui je veux que tu me baises. La porte de sa chambre à peine refermée, Roland me prend dans ses bras et m’embrasse. Avec une certaine impatience, il me déshabille et je me retrouve nue allongée sur son lit. Je m’offre sans aucune résistance à sa bouche, à ses mains. Il me couvre de baisers, de caresses. Il fouille mon antre, s’en délecte. Je veux sentir sa peau nue sur moi. Je le déshabille alors qu’il me dévore avec gourmandise. Je jouis sous sa bouche. Il finit d’ôter tous ses vêtements, le temps que je reprenne pied. Il est là, enfin nu devant moi. Je me colle à lui. Le contact de nos peaux me donne la chair de poule. Cet homme est le diable. Je ne peux me détacher de lui. Comme envoûtée par son corps, je le caresse à mon tour, l’embrasse. Il me laisse faire, me fait sentir qu’il apprécie. Son sexe est au garde-à-vous, il m’appelle. Je le prends entre mes mains, joue avec. Un filet transparent s’échappe de son gland. Je joue avec, ma bouche affamée se pose sur sa hampe. Je m’approprie celle qui plus tard me pénétrera. Ma langue s’amuse sur son nœud, cherche à ...
    ... s’insinuer dans son méat urinaire alors que mes mains jouent avec ses testicules. Sa verge est si dure que je n’aspire qu’à une chose, qu’elle entre en moi. Ma bouche libère son sexe, remonte tendrement le long de son corps. Je m’allonge sur Roland pour échanger un baiser qui dévaste tout mon corps. Il me relève le bassin et sans un mot, positionne mon vagin sur sa queue. Attirés l’un par l’autre, ils se rejoignent, font connaissance, s’adoptent immédiatement. Je m’assois sur lui pour mieux sentir son bâton me prendre. Tranquillement, je profite du bonheur tant attendu de ne faire plus qu’un avec celui qui hante chaque jour mes fantasmes les plus fous. La cadence s’accélère, mon souffle également. Il me bascule, me renverse pour se retrouver à son tour sur moi. Je sens les prémices de sa jouissance arriver. Il m’embrasse et ses coups de reins s’intensifient. Mon plaisir s’approche de plus en plus, il monte en même temps que le sien. Il lâche ma bouche pour mieux apprécier le doux son de mon orgasme et le partager avec le sien. Nous restons l’un dans l’autre, sans nous parler quelques minutes. Nous nous regardons. Le bonheur de ce moment se lit dans nos regards. Son sexe s’échappe de mon antre. Je me glisse alors près de lui, il m’ouvre ses bras, je m’y blottis, j’y suis bien. Un dernier baiser passionné avant de nous parler est échangé. — Je rêvais depuis un moment de cet instant, je suis ravi de l’osmose, m’avoue Roland— Moi aussi, c’était encore mieux que je n’avais espéré.— Tu ...