1. La copine de ma copine


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio,

    ... faire l’amour. Je pense à ce que me disait le cheik du bled lorsqu’il m’apprenait à lire, j’avais alors cinq ou six ans : chaque fois qu’un homme et une femme sont ensemble, le diable est le troisième larron. — J’ai ramené des escalopes de dinde ; je vais les griller et on va les manger avec une petite salade de tomates. Ça te va ? me dit-elle de la cuisine.— C’est très gentil, Fatma ; je commence à devenir lourdaud, je pars demain matin.— Tu pars où ?— Je ne sais pas, je vais chercher du travail.— Tu peux rester encore, cela ne me gêne pas, jusqu’à ce que tu retrouves Salma. Nous mangeons l’escalope en silence puis nous fumons une cigarette. Quand je lui raconte ce que m’a dit Mohamed, le marchand de fruits secs, elle pouffe de rire. — Il ne faut pas se fier à ce qu’il raconte, il en rajoute beaucoup. Elle remet la télé en marche ; c’est l’heure du feuilleton turc qu’elle regarde tous les soirs. Assise devant moi, elle me regarde de temps à autre. Je la trouve vraiment plus jolie qu’avant, et je veux lui dire quelque chose à ce propos ; mais ne sachant quoi dire, je préfère garder le silence. Soudain, au détour de son regard, la flamme du désir m’envahit de nouveau, et mon sexe devient raide dans mon jean. Me sentant très inconfortable, je bouge légèrement les hanches pour soulager mon entrejambe, et c’est au moment où elle me jette un regard. Je mets ma main sur mon sexe pour camoufler mon érection, ce qui la fait éclater de rire. — Euuh, je suis désolé, lui dis-je.— Tu ...
    ... penses à Salma, certainement, me dit-elle avec beaucoup de malice dans les yeux.— Non, pas tout à fait. Elle me regarde longuement, en tripotant à deux mains son paquet de cigarettes. — Alors c’est moi ! finit-elle par dire avec effort.— Peut-être.— T’as envie de moi, c’est ça !— Non, Fatma, pas tout à fait non plus.— Je trouve que tu es trop rigide, me dit-elle en me sondant avec un regard magnifique, tu ne crois pas ? Pourquoi tu es si crispé ?— C’est vrai, mais est-ce que je peux faire autrement ? Tu es nerveuse aussi.— Je te fais de l’effet ; dis-le si c’est vrai.— Oui.— Comment tu me trouves ?— Humm….— Pourquoi tu ne me le dis pas ?— Je peux te le dire, si tu veux.— Vas-y, dis-le. Je me tais, incapable de trouver un mot. — Voilà, je ferme les yeux, dis-le. Elle ferme les yeux et arrête sa respiration. — Tu es belle ! dis-je doucement.— Dis-le encore !— Tu es belle.— Embrasse-moi alors. Je ne bouge pas. — Embrasse-moi ; qu’est-ce que tu attends ? Je me lève, me rapproche de son fauteuil et je me penche pour l’embrasser. Je lui effleure les lèvres tandis qu’elle garde les yeux fermés. — Encore, me dit-elle, plus fort. En rapprochant à nouveau ma tête, elle l’entoure de ses deux bras et me tire vers elle. Nos lèvres s’entremêlent, elle force sa langue dans ma bouche. Elle paraît chaude, extrêmement excitée. J’entends sa respiration haletante et je sens la palpitation de sa poitrine. Puis soudain, comme une sorte de femme-chatte, elle glisse vers le bas le long du canapé, sous ...
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