1. La copine de ma copine


    Datte: 07/04/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio,

    ... que c’est bon sur le moment ! Je lui réplique en la traitant de salope, et cela ne fait qu’améliorer l’intensité. Avec la férocité avec laquelle j’entrais en elle, je sentais les vibrations du mur en retour de mes mouvements forts et élancés ; on aurait dit qu’il allait s’effondrer. — Oh mon amour, tu me fais jouir, dit-elle comme je pousse en elle avec le peu d’énergie qui me reste. Pour être honnête, j’avais passé les dernières minutes avec la pensée de faire tout ce que je pouvais pour ne pas souffler ma charge. Je ne veux pas que ça finisse. — Vas-y, décharge en moi. Je veux ton sperme en moi, gémit-elle. Cela m’a été fatal. Ma queue a été envahie de spasmes et des filets de ma semence ont commencé à gicler au fond d’elle. Sentant mon corps fléchir, elle ramène ses bras autour de mon cou. Ses jambes se crispent autour de moi comme elle atteint son apogée aussi, et son corps tremble violemment. Sa bouche est grande ouverte mais aucun son ne s’échappe d’entre ses lèvres. Après un certain temps, je me sens détendu. Elle se replie contre moi, serre ses bras autour de mon cou et repose sa tête contre ma poitrine. Nous tenons cette position en silence, en respirant profondément, pendant un certain temps. Finalement, elle descend ses jambes sur le plancher et glisse hors de ma bite. Me sentant léger, je vais me jeter sur le lit, entièrement épuisé, vidé. Elle s’effondre à côté de moi avec un ...
    ... bras sur mon ventre. Quelques minutes s’écoulent délicieusement, puis elle lève la tête à nouveau. Elle voit mon sexe encore raide, couvert de son jus et de mon sperme. Elle ramène sa tête et le prend dans sa bouche une fois de plus, pour le nettoyer. Je la regarde tranquillement en lui souriant tendrement. Quand elle a fini, elle reste allongée au-dessus de moi, sa tête sur mon cœur qui bat. ---oooOOOooo--- En me réveillant le lendemain, Fatma avait quitté l’appartement. Je prends une douche puis je fume une cigarette en réfléchissant à la veille. Je ne sais pas si j’ai bien fait de coucher avec Fatma, mais c’est arrivé si naturellement et cela a été tellement bon que j’en ressens un peu de remords lorsque je pense à Salma. Pour éviter de m’embrouiller dans la confusion de mes émotions, je décide de sortir prendre l’air. Je sors de la maison et déambule dans les rues, sans avoir de destination précise. Je pense un instant aller guetter devant le bar, mais je m’aperçois qu’il est encore trop tôt. En passant devant Mohamed, le marchand de fruits secs, celui-ci m’appelle. — Salma est passée ce matin ; elle m’a laissé un numéro de téléphone où tu peux l’appeler.— Oh, merci, lui dis-je avec un cœur qui cogne. Au Café de la Jeunesse, le serveur me prévient qu’il n’a pas vu Mokhtar. Je prends un thé à la menthe et je fume deux cigarettes. J’appelle Salma à plusieurs reprises, mais elle ne répond pas. 
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