1. Emois à trois (1)


    Datte: 21/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’embrassas au passage, et j’enrageai de ne pas être lui. Il te servi une coupe et tu t’installas face à nous. Les discussions virevoltèrent de la politique au boulot en passant par nos exploits du jour. D’abord critiques, nous devinrent hilares à mesure que les verres se vidaient et que la soirée avançait. Le jour déclinant, Christian alluma le feu de bois pour préparer le barbecue ce qui me laissa tout à mon aise pour te manger du regard. Je ne cessais de plonger entre ton corsage et ton entrejambe que tu me dévoilais délibérément et de plus en plus librement… je hais et j’adore ce jeu qui me brûle, fait exploser mon émoi et entraîne mon cœur dans un tam-tam insoutenable. Nous nous mirent à table, grillant des brochettes arrosées d’une huile épicée qui déclenche la soif. Bien entendu, pour l’étancher, Christian avait prévu un petit rosé bien frais, si bien qu’en fin de repas nous étions tous déjà calcinés quand tu allumas le chichon qui passa de mains en mains. La fumée eut un effet rapide après la chaleur du jour et l’alcool. Chacun d’entre nous regardait moqueusement les manières de l’autre, sans voir son propre état de déchéance. Une heure passa et la pleine lune éclairait maintenant la campagne, tandis que les flammes du feu faisaient danser nos ombres. Nous étions tranquillement assis, rompant le silence ambiant de nos railleries et des pitreries de Christian. Tu te levas en direction des WC, mais ingénue ou droguée ( ?), tu perdis l’équilibre en passant devant ...
    ... Christian et me tomba littéralement dessus ; Sans aucun reflexe de protection, je t’accueilli dans mes bras et j’en profitai pour te caresser peu discrètement les seins pendant les quelques secondes qui m’étaient offertes pour te redresser. Christian n’avait pas perdu une miette de la scène et fut d’abord interloqué, puis éclata de rire : — « Et ben ! Après çà on dira que c’est moi qui suis bourré, un vrai sac à viande, elle tomberait dans les bras de n’importe qui à l’heure-ci ?! Ne tombe pas dans la cuvette des chiottes !! » Je ne relevai pas, un peu gêné de m’être vendu. Tu te redressas en riant à ton tour en poursuivant vers le bungalow, puis revint avec la dernière bouteille de champagne : — « Vous foutez pas de moi, on verra comment vous serez quand vous allez lever votre cul du fauteuil, et puis toute façon y’a pas de témoins, et je nierai tout en bloc… » Tu avais le visage gai, mais surtout tes yeux brillaient comme des étoiles dans la nuit. Complètement Pompette ! … ça te rendait désirable, irrésistible, et Christian n’en pensait manifestement pas moins... nous n’étions plus nous-mêmes et c’est ce qui me sauva du coup de poing que Christian m’aurait asséné en situation normale. Désormais, ses blagues s’enchaînaient alternées par ses singeries et je ne manquais pas une occasion d’en rire à pleine gorge. J’étais moi aussi méconnaissable à rire si fort. Régulièrement je croisais ton regard, et tu en jouais pour m’exciter ce qui faisait monter mon désir. Quant à Christian, il ...
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