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Emois à trois (1)
Datte: 21/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... que ma main toute entière caressait le vagin de gestes doux. Entre les bruits de succion de ta chatte remplie de foutre, je perçu à nouveau tes gémissements. Tu jouissais presque sans interruption, en t’offrant cambrée en appel au viol. J’avais envie de toi. Je me couchai tendrement sur toi et t’enlaçai en saisissant tes épaules pour m’enfoncer profondément et ressentir chaque centimètre de ta peau et de ton sexe. Épuisée par les coïts, tu ne répondais plus. Tu enlaças tes jambes et tes bras autour de mon corps comme une liane, immobile, offerte et soumise ; nous ne faisions plus qu’un, ton sexe me flattait mon gland de sa douceur et de sa chaleur, et j’entamai de profonds allers et retours, tandis que Christian restait couché en chien de fusil en nous observant baiser. Ma queue disparaissait en toi sans aucune douleur ni réticence et tu m’accueillais en entier dans ce mélange de sperme et de mouille qui inondait ta robe et le lit. Je dessinais mes va-et-viens en grands mouvements ainsi que tu aimes, pour que la jouissance te frappe à nouveau. Je sentis peu à peu ton corps se crisper sur moi, tes ongles mordre mon dos et ton bassin se coordonner avec mes mouvements, activant ma transe et m’arrachant ma jouissance. Je me vidai en saccades au plus profond de toi avant de t’étreindre amoureusement dans mes bras. Nous somnolâmes ainsi une partie de la nuit blottis l’un en l’autre, assommés des excès en tout. Au matin, tu te levas la première, et nous ne tardâmes pas à te suivre, nos vessies au bord de l’explosion. Nous prîmes une douche salvatrice avant de nous retrouver devant un grand bol de café. Nos regards se croisèrent, tu répondis à ma gratitude silencieuse par un large sourire, puis Christian te prit la main. Tu demeurais sienne, c’était entendu.