1. À toute chose malheur est bon !


    Datte: 15/05/2019, Catégories: fh, grp, couple, uniforme, fépilée, noculotte, Oral préservati, double, fsodo, Partouze / Groupe fouetfesse, extraconj, bourge,

    ... un autre préservatif, Corinne se chargea de délicatement protéger ma verge turgescente qui n’en pouvait plus d’attendre la libération finale. Ses gestes étaient mesurés, car elle savait que j’étais au bord de l’extase. Notre majordome écossais s’allongea sur le canapé, sur le dos, attendant Corinne qui ne put s’empêcher de me reprendre dans la bouche quelques instants pour lubrifier de sa salive le préservatif. Elle finit par s’installer à califourchon et dès lors que le sexe volumineux de son serviteur disparut en totalité dans sa grotte intime, elle se retourna vers moi en m’invectivant. — Allez-y ! Je suis prête. Sodomisez-moi, vite, je n’y tiens plus ! Faites-moi jouir de tout mon corps. Faites-moi vibrer ! Montrez-moi qu’un pilote est un homme, un vrai ! Je m’approchai de sa croupe et, faisant glisser mon gland sur sa fente dans un mouvement vertical allant de haut en bas, je fis délicatement entrer toute la longueur de mon sexe dans le trou que j’aurais supposé bien plus résistant. À peine avais-je posé le bout de mon gland sur l’entrée de la cavité interdite par la morale bienséante et bien pensante que son muscle se décontracta d’un seul coup, m’offrant ainsi la possibilité de m’insérer sans aucune difficulté. J’étais comme happé par son ventre. Elle arrivait par ses mouvements à me masturber avec son anus. Je sentais au travers de la fine paroi le sexe respectable de mon coreligionnaire écossais qui ne ménageait pas sa peine pour le plus grand plaisir de notre ...
    ... partenaire. Ayant trouvé le bon rythme, nous la pilonnions de concert jusqu’à la garde. Je me tenais à ses hanches à chaque coup de boutoir. N’y tenant plus et voyant le mouvement alternatif que suivaient ses fesses, je claquai de façon aléatoire son fessier, sans brutalité, juste pour pimenter le plaisir que j’avais de sodomiser une femme du monde. Non seulement elle se faisait prendre par les deux trous, mais en plus elle se faisait fesser comme une gamine qui avait fait une bêtise. Que du bonheur ! N’en pouvant plus de me retenir, je lui pris les seins bien fermement et je jouis au plus profond de son bas-ventre. Elle criait nos prénoms à chaque aller-retour. Elle n’était plus parmi nous, elle était sur sa planète de la jouissance. Après être resté quelques secondes immobile, exténué par l’effort que j’avais dû fournir, je me retirai de sa croupe avec une pointe de déception de n’avoir pas tenu aussi longtemps que je l’aurais souhaité. Georges continuait d’honorer sa maîtresse. Sentant que je n’étais plus en elle, Corinne se dégagea et, après avoir retiré l’enveloppe de caoutchouc, fit jouir son écossais de majordome dans sa bouche. Elle ne laissa pas échapper une goutte de ce liquide aussi précieux qu’un vieux whiskey écossais. Elle se délectait tout en se caressant le bouton magique. Elle était insatiable. Pierre arrivait lui aussi au terme de sa jouissance. Il était là, crispé sur les hanches de sa jeune servante, la tête en arrière, les yeux fermés, appréciant toute la ...