1. Les machinations de Laure (3)


    Datte: 19/05/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ventre et les seins d’un sperme lourd, chaud et crémeux, blanc comme un vieil ivoire. Aucun des deux n’avait ôté son bandeau. Je me rajustai précipitamment, car je serais bien fat de prétendre être resté insensible à la scène dont j’avais été témoin. Je me levai, et dis : — Bravo, mon vieux. Et merci. — De rien, répondit Philippe. Je suis bien content d’avoir enfreint ces règles, tout compte fait. — Ah !, dis-je, victorieux, tout en lui tendant ses vêtements que je venais de rattraper au sol. — Merci, miss, dit Philippe en s’en emparant. — Merci à vous, dit Laure. Et peut-être à une prochaine fois ? — Pour une sublime créature comme vous, je viendrai de Montpellier à pied. — Il faudrait que tu ailles te doucher, chérie, dis-je à Laure. — Ouais, répondit-elle en se redressant. Je vais essayer de ne pas en foutre partout. Je la vis grimper l’escalier avec une aisance de gazelle tandis que Philippe bouclait sa ceinture. Le bandeau toujours sur ses yeux, il me laissa le guider jusqu’à l’extérieur, jusqu’à la voiture, pour le ramener à son point de départ, comme si de rien n’était, comme si ces deux heures n’avaient été qu’un rêve. Quand je rentrai, Laure s’était déjà endormie. Je pensai aussitôt que Philippe l’avait épuisée, surtout après les transports de colère et l’intensité des émotions dont j’avais été la cible un peu plus tôt dans la journée. Je me préparai un rapide casse-croûte de viande froide et de fromage, puis allais me coucher à mon tour. Je ne parvins pas à ...
    ... trouver le sommeil. Les images de cette fin d’après-midi m’occupaient l’esprit. Je n’arrêtais pas de visualiser la bouche de ma fille soupirant de joie, le mouvement de son bassin sur Philippe, le balancement de ses seins sous les doigts experts, les remous des cheveux beaux comme des oscillations d’ombelles dans le zéphyr. La porte de ma chambre s’ouvrit. Dans la pénombre, je distinguai, dans l’encadrement, la silhouette de Laure. Je n’essayai même pas de faire semblant de dormir et me retournai. — Laure ? Ça va ?, demandai-je. Elle s’avança d’un pas et dit : — Merci, Papa. Tu es cool. Pas une de mes copines n’a un père aussi cool que toi. Je t’aime, Papa. Merci. Je me redressai, m’assis sur l’oreiller. — Ne me remercie pas, voyons, tu... Elle avança vers moi, arriva au bord du lit, se pencha vers mon visage et m’embrassa. Je répondis aussitôt à son baiser. Elle se lova dans mes bras. Quand bien même j’aurais essayé de lui cacher mon érection, je n’y serais pas parvenu. Elle dit : — Tu te souviens de quand j’étais petite et que j’avais peur, la nuit ? Je t’appelais, et tu venais. Tu t’asseyais sur mon lit. Tu me passais une main dans les cheveux. Cela suffisait à me rassurer. Je suçotais mon doudou, et je m’endormais presque aussitôt. Je ne sais pas combien de temps tu restais. Une heure ? Dix minutes ? En tout cas, je me rendormais. Merci, mon Papa. Je lui entourai les épaules de mon bras, et lui répondis : — Je ferai n’importe quoi pour toi, ma fille. N’importe quoi. — Je sais, ...