Clara, ma "marraine".
Datte: 06/06/2019,
Catégories:
fh,
fbi,
amour,
volupté,
69,
champagne,
ecriv_c,
... Souvent nous parlons de Laure. Sans nouvelles, les tentatives d’appels téléphoniques restants vains. Pas même une messagerie, des sonneries qui s’égosillent dans le vide. Elle nous manque à tous les deux. Son départ précipité a laissé une plaie non cicatrisée. Reste que je me demande comment Clara vit sans une fille à aimer au lit… À cette question elle m’a répondu : — Bah ! Pour l’instant je n’ai pas de pulsion de ce côté… Et pour retrouver une partenaire comme Laure ! On verra… Elle s’était mise aussi en colère en me rappelant qu’elle était « quand même un peu amoureuse de moi », que c’était « la première fois qu’elle ressentait ça pour un homme ». La fin de soirée se passe souvent dans le canapé, à papoter. Et comme de bien entendu c’est surtout elle qui parle… La télé parfois. Bref comme tout le monde, et un début d’habitudes, de routine. Les nuits, en revanche, sont plus imprévisibles. Je parle de nos relations sexuelles. C’est suivant son humeur. Clara est soit expéditive : il faut la prendre sur-le-champ et quelques secondes suffisent… Et souvent comme elle aime, c’est à dire habillée comme elle est à ce moment. Soit elle est plus chatte et nos jeux durent, durent… Dans ce cas elle est volontiers gourmande et m’explique comment la faire jouir comme le font les lesbiennes. Elle est ouverte, si je puis dire, à toutes les pratiques… sauf à la sodomie. — Il faudra que tu essaies, un jour… que je ne meure pas idiote, m’a-t-elle dit en riant. Il nous arrive, et ce sont ...
... des soirées très chaudes, de visionner des films X, installés dans le canapé. Ça l’excite prodigieusement et elle adore reproduire ce que l’on y voit. Parfois nos ébats sont torrides et épuisants, sachant que je suis le seul acteur masculin de ce côté de l’écran… Clara a un tempérament exceptionnel. Elle donne et se donne sans retenue, sans fausse pudeur. Mais, et j’apprécie, elle fait l’amour avec sentiment et tendresse. Sur ce point nous nous accordons parfaitement. Un soir je décide à mon tour de la surprendre. Comme elle rentre et va se préparer dans la salle de bains, je la suis. — Eh ! Veux-tu bien me laisser… je pue ! me jette-t-elle.— Attends, je t’aide et je te lave…— Ah ! pourquoi pas ! T’as une idée derrière la tête ? Debout, je la déshabille, ce qui la ravit, jetant plus que je dépose sa robe compliquée. En slip et soutien-gorge je l’embrasse et lui caresse les seins, ses fesses, son entrecuisse. — Mais, mais… se défend-elle, arrête ! Tu aimes les femmes qui sentent… c’est pas possible, cochon !— Meu non, protesté-je, allez on enlève le reste ! Et je la débarrasse du soutif découvrant sa poitrine généreuse et ferme. Au passage je goûte d’un coup de langue les tétons effrontés et salés, de mes mains j’apprécie la délicate lourdeur de ses seins. — Ahhhh ! gémit-elle, le string vite… je mouille, salaud ! Avec les dents je fais glisser la fine dentelle le long de ses cuisses et enfouis ma tête dedans. Lisses et dures, chaudes et frémissantes. Ses mains m’attrapent les ...