1. Clara, ma "marraine".


    Datte: 06/06/2019, Catégories: fh, fbi, amour, volupté, 69, champagne, ecriv_c,

    ... cheveux. — Tu es un terrible ce soir, et pressé… souffle-t-elle. Je remonte, et de mes lèvres je dépose mille baisers. Je m’arrête très près de son petit triangle de poils… Clara respire très fort et, immobile, m’observe bouche ouverte. Je fais mine d’attaquer de la langue sa foufoune en la prenant par les hanches. Elle crie en serrant les cuisses. — Nooooon ! Arrête, je dégouline… Je la pousse sous la douche et avec la pomme j’inonde d’eau l’endroit interdit. En gloussant, elle écarte les cuisses et, à loisir, de tous mes doigts je la nettoie, ne laissant aucun détail, la doigtant, énervant son clito. — Ah ! la vache, c’est bon, mais, mais… Moi-même, encore habillé, je suis à moitié trempé, comme l’est maintenant sa chatte. Je l’entraîne rapidement, et toute humide, sur la moquette du salon où je la force à s’allonger. — Mais tu es fou ! On met de l’eau partout… Ah ! mais c’est pas vrai ! Elle est couchée par terre, sur le dos, se cachant la poitrine d’un bras ; le pubis, cuisses serrées, par une main. — C’est du viol… au secours ! minaude-t-elle. Rapidement je me déshabille sous son regard amusé et vaguement inquiet, gardant mon slip transformé en tente canadienne. — Maman ! J’ai peur… murmure-t-elle. J’attrape la bouteille de champagne que j’avais cachée, la débouche. — Aaaah ! crie-t-elle, tu ne vas pas… nooooooon ! Trop tard, ploc ! Le bouchon saute et un jet impressionnant jaillit et l’asperge. Toute pudeur oubliée elle tente de protéger son visage avec ses mains. ...
    ... Je m’approche d’elle et m’agenouillant, je lui présente le goulot. — Bois… lui dis-je en versant doucement dans sa bouche. Elle manque s’étrangler, et brusquement m’attrape et me fait tomber à côté d’elle. — Ah ! c’est comme ça, tu vas voir… Nous nous disputons la bouteille et dans la bataille nous sommes rapidement dégoulinants de champagne. Essoufflés, je gis maintenant sur le dos, Clara me recouvrant à demi, la bouteille à la main. Ses seins magnifiques et trempés narguant les lois de la pesanteur. Avisant ma tente de camping elle murmure : — C’est la guerre, hein !? Et m’arrachant le slip elle découvre ma fusée et l’asperge. Nous roulons l’un sur l’autre dans des senteurs d’alcool, notre peau collante de sucre. — Ne bouge plus ! m’ordonne-t-elle, tu vas voir… Elle boit sans avaler et m’embouche le sexe. Le liquide coule de ses lèvres et sur mes cuisses. — Une pipe au champ’ ! Ça te dit ? rigole-t-elle , non mieux que ça, un 69, et allez ! Se retournant, elle m’écrase la bouche avec son abricot baignant dans son jus. Nous irons jusqu’au bout de cette mutuelle caresse… Jouissant l’un après l’autre dans ce cloaque champenois. Puis Clara s’essuiera la bouche d’un revers de main et boira au goulot une rasade. — Comme ça, ça passe mieux ! me dira-t-elle en me tendant la bouteille. Nous sommes restés quelques minutes demi-couchés, à récupérer, en nous faisant des petites léchouilles ci et là, où il y a des tâches sucrées. — Géniale ton idée, humide et collante ta surprise… me ...
«12...567...10»