Ardente voisine
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
fplusag,
... du chemin qui les conduisit jusqu’à l’immeuble où ils résidaient l’un et l’autre fut pour Guillaume un enchantement. Oubliant tous ces appâts féminins qui un instant plus tôt l’accaparaient tant, il s’ingénia à faire rire sa compagne, désirant se faire adopter par elle. C’était la première fois qu’il se trouvait ainsi en tête-à-tête avec elle et l’émoi qui l’étreignait le rendait presque maladroit. Cependant, malgré le trouble qui l’habitait, il ne pouvait s’empêcher de temps à autre de jeter un furtif coup d’œil en direction des attrayantes protubérances qui déformaient le devant de la légère robe. Laura devait avoir la quarantaine, mais malgré cette différence d’âge Guillaume avait éprouvé, dès qu’il l’avait croisée dans l’escalier pour la première fois, un irrésistible désir pour son corps aux courbes affolantes. Les énormes seins, les hanches charnues, et la croupe rebondie de sa sensuelle voisine n’avaient alors cessés de l’obséder, aussi bien le jour, lorsqu’il se trouvait sur son tracteur, que la nuit, seul dans son lit. Que de fois s’était-il imaginé dénudant ce corps plein d’attrait, refermant ses mains sur les énormes mamelles pour les presser fiévreusement, avant d’enfoncer son visage dans le profond sillon qui les séparait. Comme beaucoup d’hommes Guillaume éprouvait une véritable attirance pour les femmes aux grosses poitrines. De son coté, Laura sentait son cœur battre follement, car elle aussi, lors de leur première rencontre, avait ressenti une certaine ...
... attirance pour ce jeune homme aux yeux étonnamment bleus, au sourire enjôleur et à la carrure impressionnante. Mais vu l’âge du garçon, tellement plus jeune qu’elle, elle avait rejeté de son esprit toute idée d’aventure amoureuse avec ce merveilleux, mais trop jeune Adonis. Pourtant à quarante-deux ans, elle éprouvait encore de fréquents désirs charnels qu’elle devait, dans la plupart des cas, calmer à l’aide d’une douche froide. Mais lorsque cela ne suffisait pas, elle employait alors des artifices qui la laissaient, le plus souvent, plus frustrée que comblée. Pour cela elle possédait, bien caché au fond d’un tiroir de sa commode, toute une collection de godemichés ; elle en avait de toutes les tailles et de toutes les formes, qu’elle s’était procurée par correspondance. Toujours célibataire par obligation familiale, elle avait bien eu quelques amants du temps de sa jeunesse, mais la présence à ses cotés de son père impotent les avait fait rapidement fuir, aucun ne voulant assumer un beau-père infirme. Au fil des années, les occasions d’avoir des rapports sexuels s’étaient espacées, pour devenir même tellement rares qu’elle devait de plus en plus souvent utiliser ses artifices de plastique pour calmer ses désirs sexuels. Cependant, tout en plaisantant, le couple se trouva bientôt devant l’immeuble où il résidait. Et alors que Guillaume, d’un geste galant, lui ouvrait la porte d’entrée, Laura ressentit un sentiment d’angoisse à l’idée qu’elle allait se retrouver seule chez elle ...