Ardente voisine
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
fplusag,
... avec son père cloué sur son fauteuil ; son merveilleux prince charmant allait disparaître et Dieu sait quand elle allait avoir l’occasion de le revoir… Elle ne pouvait le laisser partir ainsi ! Le peu de temps qu’elle avait passé prés de lui avait suffit pour faire naître en elle un incontrôlable et insidieux désir, et la moiteur qu’elle sentait à la fourche de ses cuisses n’était pas entièrement due à la transpiration. Comprenant que si elle voulait garder prés d’elle le jeune homme, elle devait s’y employer rapidement, car ce dernier n’oserait certainement pas faire le premier pas, elle se lança : — Vous ne désirez pas une boisson fraîche ? demanda-t-elle, angoissée à l’idée que Guillaume refuse son offre. Je vous dois bien ça, avec cette chaleur ! Guillaume, qui de son côté ne savait comment prolonger ce tête à tête délicieux, mais n’osait proposer à la jeune femme de venir un instant chez lui, s’empressa d’accepter l’invitation : — Je ne voudrais pas vous déranger, tenta-t-il de protester pour la forme.— Non seulement vous ne me dérangerez pas, mais vous me feriez un immense plaisir, insista lourdement Laura. Dans l’étroit escalier qui desservait les trois étages de l’immeuble, Laura, le cœur battant à tout va dans sa poitrine, s’empressa de gravir les marches devant son compagnon. Sans s’en douter elle offrait à ce dernier le spectacle hallucinant de sa croupe ronde qui ondulait d’une manière terriblement suggestive à chaque pas qu’elle faisait. Guillaume, qui éprouvait ...
... un réel plaisir à se trouver en compagnie de cette femme qui le faisait tellement fantasmer, sentit soudainement une bouffée de désir l’envahir à la vision des rondeurs fessières qui roulaient sensuellement à quelques centimètres de ses yeux. Avec émoi il sentit son sexe se gonfler inexorablement dans son slip. Affolé devant le spectacle de ces deux masses mouvantes, il crut même discerner sous le mince tissu de la robe les contours en relief de la culotte de la femme. Ce dernier détail vestimentaire, terriblement affolant pour ses sens en éveil, lui donna l’envie de palper cette croupe superbe de ses deux mains, de la pétrir sauvagement, de l’ouvrir afin d’aller découvrir le merveilleux orifice qui s’y cachait. Heureusement l’arrivée sur le palier du premier étage où logeait Laura freina ses convoitises luxurieuses. Suivant son hôtesse comme son ombre, Guillaume pénétra dans le logis de celle-ci, quelque peu intimidé. L’un derrière l’autre ils longèrent d’abord un long couloir au bout duquel plusieurs portes donnaient accès à différentes pièces de l’appartement. Laura poussa celle de droite pour disparaître dans ce qui sembla à Guillaume la salle à manger d’où lui provenait le son d’une télévision. — C’est moi, Papa, entendit Guillaume. Monsieur Merval, notre voisin du dessus est là. Il a eu la gentillesse de m’aider à porter mon panier. A ces mots, Guillaume avança dans la salle. Un homme d’une soixantaine d’année s’y trouvait, assis sur un fauteuil, une couverture sur les ...