Ardente voisine
Datte: 03/07/2019,
Catégories:
fh,
voisins,
fplusag,
... jambes, occupé à regarder la télé. De visage il ressemblait étonnamment à sa fille, les mêmes singuliers yeux gris tirant sur le vert. Ses cheveux étaient aussi blancs que la neige. Guillaume avait entendu dire dans l’immeuble que madame Pertini vivait avec son père handicapé, mais jamais personne n’avait rencontré celui-ci et pour cause. Il perçut un sentiment de gêne sous le regard inquisiteur que lui lança l’homme cloué sur son fauteuil. Comprenant le sentiment de malaise qui préoccupait son invité, Laura entraîna vivement celui-ci de l’autre côté du couloir, dans une cuisine spacieuse, judicieusement meublée et largement éclairée par une fenêtre orientée Sud-est. Au centre de la pièce se trouvait l’incontournable table de cuisine rectangulaire, en bois blanc recouvert de carreaux de faïence bleutés, entourée de quatre chaises métalliques de couleur blanche et au siège de plastique bleu. Sur le rebord de la fenêtre, dans une minuscule cage, un canari jaune orangé, pauvre oiseau prisonnier de la cruauté humaine, privé d’espace, s’égosillait en trilles vibrantes, marquant ainsi son territoire et tentant vainement d’attirer une hypothétique femelle. — Mes parents ont eu un accident de voiture lorsque j’étais encore enfant, tenta d’expliquer Laura. Ma mère en est morte tandis que mon père est resté handicapé, et depuis je m’occupe de lui… Mais comme Guillaume posait le cabas de légumes à même le sol, la jeune femme s’excusa : — Je vous laisse deux minutes, le temps de me ...
... changer car je suis en nage. Mais faites comme chez vous. Les boissons sont dans le bas du meuble, là, désigna-t-elle. Servez-nous en m’attendant. Pour moi ce sera un Martini blanc. Puis elle s’éclipsa par une des portes donnant dans le couloir. A peine enfermée dans la salle d’eau, Laura retira vivement sa robe légère trempée aux aisselles et dans le dos. Puis, constatant que ses sous-vêtements étaient tout aussi humides de transpiration, elle décida de les ôter également. Se contorsionnant elle dégrafa son soutien-gorge, libérant ses volumineux seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses charnues et le long de ses jambes robustes, jusqu’au sol carrelé de la salle d’eau. Entièrement nue, magnifique dans sa nudité sculpturale, Laura, dans un réflexe tout féminin, examina l’entrejambe de son vêtement intime. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon ne la surprit qu’à demi et, comme pour s’en assurer, elle porta son slip souillé à ses narines pour le humer avec curiosité. Immédiatement elle reconnut l’odorant fumet qui s’en dégageait pour l’avoir plusieurs fois flairés sur ses doigts lors de folles séances de masturbations. Inquisitrice elle glissa une main exploratrice entre ses cuisses et force lui fut de constater combien sa vulve, au centre de son abondante fourrure, était dilatée et abondamment mouillée. Affolée par ce constat, la jeune femme, dont ...