1. La déception pousse vers des voies étroites


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, soubrette, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique,

    ... brûlante et pointe son pieu quelques lignes plus haut. La marquise ne réalise pas tout de suite ses intentions en le sentant contre sa porte étroite. Ce n’est que lorsqu’il commence à en forcer l’entrée qu’elle réagit. Elle proteste, tente de rompre, mais bascule en avant et se retrouve à plat ventre dans la paille. Charles suit le mouvement, tombe de tout son poids sur Anaïs et s’enfonce d’un coup dans son cul. Elle ne peut retenir un cri. C’est la première fois que le passage est usité, et cela la brûle. Elle pense à se dégager. L’idée que Charles déçu s’en aille la retient. In fine, elle préfère coopérer. Elle se cambre, écarte ses fesses à deux mains. Ce ne devient pas l’extase, mais au moins est-ce moins déplaisant. Elle n’a qu’une hâte : que cela cesse rapidement. Elle n’a pas la chance d’être exaucée, le vicomte tient la distance. Un quart d’heure durant son cul subit l’assaut avant qu’il ne se répande dans ses entrailles. De leur perchoir les cinq larrons n’en perdent pas une miette. Ils se poussent du coude. L’un d’entre eux confie : — Ma Juliette, c’est point une grande dame, mais elle n’accepterait point de se faire prendre le cul dans une écurie, sur de la paille crottée en plus. Quand Charles se relève, libérant la marquise, icelle se dresse assez mécontente. Les mots ont du mal à venir : — Vous… vous… Charles l’interrompt : — Ah chère Anaïs ! Vous aurais-je déplu ? J’en suis au désespoir. Je croyais qu’un peu de fantaisie vous siérait. Je ne saurais me le ...
    ... pardonner de vous avoir offensée, aussi je préfère me retirer pour ne plus paraître devant vos yeux. Je vais céans supplier Sa Majesté de rejoindre la flotte, pour que votre regard ne m’accable pas. En entendant ces mots, l’ire de la marquise s’envole. Si le vicomte s’en va, c’est sa source de renseignements qui s’en va et les écus avec. Mais aussi parce qu’elle éprouve pour le vicomte une vive affection. Aussi passant outre sa fierté et son cul en feu, elle le retient par le bras : — Que nenni, Charles, vous ne m’avez point déplu, ni offensée, mais j’ai été surprise. Je n’avais jamais auparavant été… Heu…— Enculée. Votre mari n’usait pas de cette voie ? On le disait pourtant fort paillard.— Ci-fait, mais feu mon regretté époux n’était plus aussi gaillard que dans sa jeunesse quand il m’a épousée. Il était fatigué et usait déjà peu de l’autre voie.— La réputation de Monsieur le Marquis m’a induit en erreur. Croyez que je suis mari de vous avoir ainsi brusquée. Je suis impardonnable.— Vous êtes tout pardonné.— De savoir que je ne vous fais offense emplit mon cœur de bonheur et si je n’ai pas encouru votre déplaisir, permettez que nous recommencions sur le champ.— Maintenant ? répond la marquise peu enthousiasmée à cette perspective.— Oui da !— Ne croyez-vous pas qu’il faudrait mieux remettre.— Si tel est votre désir. Dans ce cas, le temps que vous vous reposiez et pour ne pas vous importuner, je vais rendre visite à ma famille. Cela fait des mois que je ne suis point retourné à ...
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