1. La déception pousse vers des voies étroites


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, soubrette, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique,

    ... vous m’avez si généreusement enseigné. Est-ce digne d’un gentilhomme tel que vous ? Surtout vous qui professez que tous et toutes doivent être enseignés. Ainsi poussé, à son corps défendant, il répond : — Non certes, il ne faut nul laisser dans l’ignorance. Mais le sujet est particulier.— Renieriez vos principes, cher ami ? Ne m’avez-vous pas plusieurs fois proclamé que l’éducation devrait être un droit pour tous, dans tous les domaines ? Le vicomte ne peut s’empêcher d’apprécier la manière dont la marquise l’a poussé dans ses retranchements. Après le traitement qu’il lui a administré l’après-midi, qui aurait pu avoir des répercussions sur sa mission, il ne faut point tenter le diable. Il sent que cette fois-ci la marquise préférerait accepter qu’il parte plutôt que de renoncer à son idée. Il ne peut courir ce risque pour préserver le cul de la chambrière. Il essaie de se donner bonne conscience ne se disant que celle-ci pourrait goûter la chose et que de toute manière elle n’en mourra pas. Anaïs lui tend le flacon d’huile parfumée : — Cela vaut, je pense, l’onguent pour chevaux. Sans faire de commentaire il le prend, le débouche et en fait couler un filet sur le manche du fouet, puis sur la raie culière de la bonne. La marquise lui demande alors d’écarter les globes rebondis, afin qu’elle ait un meilleur accès. Quand l’œillet est bien dégagé, elle se sert du manche pour le titiller doucement. Marguerite se ...
    ... contracte. Anaïs lui conseille de se détendre et poursuit sans attendre de voir si son conseil est suivi résultat. Lentement le manche qui il y peu occupait son cul pénètre dans celui de sa femme de chambre. Celle-ci se trémousse. La marquise force alors le passage d’un coup en vrillant, en lui intimant l’ordre : — Cesse de gigoter ! Il est bien entré. Maintenant il faut assouplir. Tout en parlant, elle fait aller et venir l’instrument en le tournant et poursuit la manœuvre quelques minutes. Marguerite serre les dents et, se rendant compte que cela améliore les choses, se relâche au maximum. Jugeant qu’elle a assez œuvré à l’éducation de sa bonne, Madame de Pierrenoire déclare : — Comme le vicomte me l’a conseillé pour moi-même : il faut laisser le harnachement pour ne pas perdre le bénéfice de cette inauguration. Comme l’avait fait Charles, elle se sert de la longue mèche du fouet pour fixer dans le fondement de sa camériste le manche d’icelui. Là-dessus, elle lui dit de se rhabiller et d’aller vaquer à ses occupations et, poursuivant les métaphores équestres de Charles, que l’on s’occupera de la dételer pour la nuit. Marguerite se vêt et quitte la pièce d’un pas précautionneux. Après son départ la marquise revient aux choses sérieuses et s’efforce de soutirer à son amant le plus de renseignements. Celui-ci, bien évidemment, lui fournit de bonne grâce. Enfin pas trop aisément pour que cela reste crédible. 
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