1. A la maison de retraite


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fh, ff, hagé, oncletante, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral

    ... au soutif. Elle sentait une boule dans sa gorge tout en sachant qu’elle devait faire ce qu’on lui avait demandé. Elle baissait les yeux mais elle sentait bien le double regard qui pesait sur elle, celui du vieux bonhomme et celui de sa tante Suzy, attentifs, inquisiteurs. Elle se tourna lentement, dos au lit, se pencha légèrement en avant, glissa ses pouces dans sa culotte puis les fit glisser le long de sa cuisse, découvrant ainsi ses fesses amples, pleines, généreuses. Elle descendit son pantalon et sa culotte jusqu’aux genoux dans un geste aussi chaste que possible mais déjà bigrement indécent. Dans le mouvement, sa raie s’écarta légèrement, laissant apparaître un fin duvet de poils bruns. Le vieux s’en étouffa presque. Elle se redressa aussitôt et lui, il apposa ses mains tremblantes, constellées de taches brunes, sur la chair fraîche de ce cul presque juvénile qu’on lui offrait. Il n’avait rien vu de tel depuis un moment ! Rapidement, il glissa un doigt entre ses fesses, sentit la rugosité des poils. Ce contact était si étrange que Florence en avait la tête qui tournait. Elle avait envie de s’enfuir ou envie d’aller plus loin, elle ne savait plus trop. Elle avait envie de tout et de rien. Elle sentait les doigt de ce vieux qui cherchaient à la fouiller, à s’immiscer en elle. De plus en plus, elle se raidissait, se crispait puis, soudain, sans réfléchir, elle se pencha en avant et écarta légèrement les jambes. Elle serra les dents. Aussitôt, la main osseuse du vieux ...
    ... s’infiltra entre les cuisses de la jeune fille. Son doigt tordu par les rhumatismes glissa entre les lèvres charnues de son sexe dégoulinant. Ce contact l’électrisa. Le vieux jubilait : — Bon dieu… la cochonne… le cul… Il en bavait ! Même Suzanne était comme paralysée par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Tout en continuant de labourer le sexe de la fille avec sa main malhabile, le vieux bonhomme pencha sa tête entre ses fesses, en huma l’odeur exquise et glissa un instant sa langue dans sa raie. Elle s’offrait de plus en plus, écartant les jambes, laissant maintenant clairement apparaître son sexe ouvert, et même son anus qui se dévoilait de plus en plus nettement. C’est alors que sa tante l’agrippa par les épaules pour la soustraire aux assauts du vieux : — Allons, allons… Florence était dans un état second, son excitation était à un point qu’elle n’avait jamais connu. Elle se débattait presque, au bord des larmes : — Non, je ne peux pas arrêter, maintenant ! Je vais exploser. Le vieux, lui, incapable de se lever, s’était écroulé sur son oreiller hors d’haleine. Luttant contre sa nièce, au corps à corps, Suzanne ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps nu si désirable qui ne cessait de se frotter contre elle. Elle n’avait jamais été attirée par une femme auparavant mais, là, il fallait reconnaître que tout ceci l’avait troublée, qu’elle la regardait désormais avec envie. Alors, subitement, elle saisit Florence par les poignets, la retourna et la plaqua contre le mur. Les ...
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