1. A la maison de retraite


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fh, ff, hagé, oncletante, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral

    ... mouvements de la jeune fille étaient entravés par son pantalon qui avait glissé jusqu’à ses chevilles. Tout en la maintenant fermement en respect, Suzanne dit alors : — Ah, tu veux jouir, hein !? Alors, tu vas voir, petite cochonne. Dans son esprit, elle se justifiait en considérant cela comme un mélange de punition et de nécessité induite par la situation précédente. En quelque sorte, elle se persuadait qu’elle ne faisait là que son devoir de patronne, et de tante. De force, elle écarta les cuisses de sa nièce et y glissa sa main. Elle introduisit aussitôt un doigt dans son sexe, tout en titillant son clitoris : — Oh, Tata ! Tata ! Florence n’en revenait pas, mais c’était exactement ce dont elle avait envie à ce moment-là. Suzanne, de son côté, ne se souvenait pas qu’un corps de jeune fille pouvait être aussi beau. Surtout, elle n’aurait jamais soupçonné que sa propre nièce pouvait lui apparaître aussi désirable. Elle avait envie de la posséder complètement, de lui donner du plaisir comme jamais, et Florence se laissait visiblement faire, sous la dictature de son désir. Les caresses de sa tante sur sa vulve lui faisaient un effet incroyable. Il faut dire qu’une pratique régulière de la masturbation avait donné à Suzy un certain savoir faire en la matière. En même temps, de son autre main, elle caressait les seins magnifiques de sa nièce, lui pinçait les tétons. À son tour, Suzanne sentait que sa culotte devenait toute humide : elle ne se contrôlait plus tout à fait. Elle ...
    ... commença à l’embrasser dans le cou, puis elle se pencha pour pouvoir glisser un téton dans sa bouche. Il lui sembla qu’il avait un léger goût de réglisse. Florence continuait de gémir : — Suzy ! Suzy… Elle n’était capable de rien de plus. Alors, Suzanne s’agenouilla et se retrouva avec le visage à hauteur des fesses de sa nièce. Elle les empoigna pour en éprouver la consistance : c’était parfait, ni trop ferme, ni trop flasque. La peau était douce, les courbes aguicheuses. Elle ne put se retenir de les mordiller. Elle la débarrassa ensuite complètement de son jean pour qu’elle puisse écarter les jambes et lui donner un accès plus aisé à sa vulve. Un instant Suzy contempla le sexe de Florence avec fascination : les chairs étaient tendres, roses, juteuses. Ça lui rappelait sa jeunesse. Elle imaginait la sensibilité de sa nièce et les sensations que ses propres attentions pouvaient lui procurer. Elle y passa alors goulûment la langue en se contorsionnant légèrement. Florence se mit à hurler pour de bon. Au même moment, Suzy s’était déboutonnée pour pouvoir glisser une main sur son sexe et se masturber : elle avait la vulve en feu. Ses propres caresses décuplèrent son désir. Il lui fallait plus. Il lui fallait tout. Elle empoigna alors de nouveau les fesses de sa nièce et les écarta pour en exposer l’intimité le plus indécemment possible : son sexe béant, les poils qui couraient le long de sa raie et son petit œillet rose qui trônait au milieu, comme frémissant. Elle trouva cela ...
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