1. C'est la burrrle, c'est la tourrrmente !


    Datte: 19/07/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail campagne, froid, voyage, Oral pénétratio, glaçon, bougie, humour, aventure, occasion,

    ... n’y vois pas malice, mais je vais être obligé de te masser le ventre, tu trembles encore. Je me retourne ; au diable la pudeur, il vient de masser mon cul. Je grelotte encore. Il me frotte les épaules, les mains et les bras tout aussi vigoureusement que mes mollets et mes cuisses. — Tu permets ? me demande-t-il en saisissant mes seins. Ils sont tout glacés. Il faut te frictionner la poitrine sinon tu vas te choper une pneumonie. Du coup je frissonne, mais pas de froid. L’animal possède la technique pour me faire dresser les tétons et me masser les roploplos. Il continue à me frictionner les cuisses, le ventre, les hanches, puis il remplit la cheminée et le poêle et vient se coucher contre moi. Nous nous enroulons dans la couverture mitée. Au bout de quelques minutes, nous finissons par trembler à l’unisson puis, serrés l’un contre l’autre, nous sombrons dans le sommeil. Je me réveille totalement désorientée, engourdie et courbaturée. Il fait sombre, le vent souffle en tempête à l’extérieur. Je frissonne un peu et me rends compte qu’un homme me serre contre lui, un bras passé sous mon torse ; il me tient un sein et me tripote le téton. C’est ça qui vient de me réveiller, et le fait qu’il a glissé la main entre mes cuisses et me caresse la chambre des secrets. Il sait y faire, le bougre, car j’ai l’omelette qui bave. Ça ne peut être que mon mari, Vincent. Mais où suis-je ? Tout me revient en mémoire d’un coup : la tempête de neige, ou encore latourrrmente, les congères et Régis ...
    ... ! Son bas-ventre collé contre mes fesses se réveille lui aussi. Je n’ose bouger, car le poêle et la cheminée sont éteints ; il fait froid hors de la couverture et des bras de mon collègue. Il se serre de plus belle contre moi, caresse mon sein en grommelant je ne sais quoi. Maintenant il m’embrasse dans le cou. Je n’ose bouger et j’en ai de moins en moins envie. À défaut d’allumer la cheminée, c’est moi qu’il allume. Je sens une chose se développer contre ma croupe ; ça se déploie, s’amplifie, ça grossit, ça durcit. Et ça vient de trouver le chemin tout seul. Il faut dire que je l’ai aidé un peu en écartant les jambes. Zouip ! C’est entré d’un coup. Il n’est pas mal pourvu par la Nature, le bougre ; il se niche tout au fond de mon ventre et me fait gémir de plaisir. Mon petit cri le réveille. — Merde ! Marilyne, qu’est-ce qu’on fait ?— Je sais pas, mais ne t’arrête pas… dis-je en remuant le derche. Il ne faut pas lui dire deux fois : il commence ses va-et-vient et me pilonne l’entrejambe de plus en plus vite. Je ne mets pas longtemps à monter dans les tours, surtout qu’il continue de me triturer le bout des seins et mon petit pignon. Je dégouline, je sens de petits frémissements m’agiter le ventre. Je me cambre. Lui coince le loup-garou dans mon casse-noisettes ; je le sens de plus en plus gros. Je vois trente-six chandelles et il explose en moi. — Désolé, Marilyne, je suis désolé…— Ne t’en fais pas ; dis-toi que c’est une façon comme une autre de se réconforter. En plus, ça ...
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