1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... le mouvement. J’avais assez d’assurance pour être cette instigatrice. On s’installa donc et j’ai retiré ma robe sous laquelle je ne portais qu’un string. Ce fut quasiment immédiat. Un homme furieux vint vers nous et nous agressa : — Vous n’avez pas honte ?— Quoi donc ? demandai-je, ne comprenant pas immédiatement où était le problème.— Couvrez tout de suite vos seins ; c’est une plage familiale, ici.— C’est pour cela que vous vous excitez ainsi en regardant mes seins ? Je me demandais comment on pouvait m’en vouloir d’avoir les seins nus, d’autant plus que les yeux de cet homme bouffaient littéralement mes nichons, et si bobonne n’avait pas été là il se serait abandonné dans la contemplation de ma poitrine, sans rien dire. C’était si naturel pour moi que j’avais du mal à comprendre ce qu’il attendait de nous. — Nos enfants sont bien élevés ; ils savent ce qu’est la pudeur, et vous vous exposez impudiquement.— C’est bon, c’est bon, dit mon mari, on s’en va. On ne va pas troubler l’innocence de vos enfants. Nous avons décampé. J’ai noué une serviette sur ma poitrine indécente et nous avons avancé sur la plage, espérant trouver un lieu plus propice pour me dénuder, et surtout plus accueillant. Effectivement, après avoir parcouru environ 250 mètres, une séparation de zone apparut. Il y avait quelques femmestopless. Elles étaient peu nombreuses, mais tolérées. Dès lors, j’ai rangé ma serviette et c’est donc seins nus et fièrement que nous avons poursuivi notre chemin sur la ...
    ... grève. Au fur et à mesure que nous avancions, le nombre de femmes seins nus devint plus important, pour devenir la norme. Je pus bronzer librement sans gêne ni mauvais coucheur outragé à la vue d’une paire de lolos bien inoffensifs. Sur cette même plage, un autre jour, nous avons poussé plus loin nos pérégrinations. Nous avons constaté que ce lieu qui contenait des « textiles » fanatiques devenait sur le bord opposé un endroit prisé par les nudistes. Avec mon mari, nous n’avions jamais bronzé nus en public. Il nous était arrivé quelquefois de nous déshabiller entièrement dans des endroits déserts où nous ne risquions pas de nous faire surprendre : une rivière, un lac, une plage sans personne… Offrir son corps entier au soleil, se baigner sans maillot, tout cela était un réel plaisir. Mais il n’y avait que mon mari pour me voir nue. Si j’appréciais que des hommes, autres que lui, puissent profiter de ma nudité partielle, je ne m’étais jamais imaginé me mettre intégralement nue en public. J’étais bien trop pudique pour dévoiler ma toison pubienne et ma vulve en public. D’autant plus que mes lèvres vaginales n’étaient que partiellement voilées, mes poils blonds étant peu fournis et assez courts. J’étais donc à la fois exhibitionniste et pudique. Paul n’était pas non plus très enclin à exposer sa nudité, ayant beaucoup de difficulté à rester calme et serein en me voyant nue devant lui. Les rares fois où nous nous sommes trouvés dans le plus simple appareil en pleine nature, sa trique ...
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