1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... rappelaient trop Fabrice. « Le plaisir et la peine couchent dans le même lit. » dit un proverbe tchèque. Puis, lorsqu’il se dirigeait vers ma vulve, ce n’était pas pour me pénétrer, mais là encore pour me procurer des délices, particulièrement en excitant mon clitoris. Paul s’y prenait si bien qu’il arrivait à me faire atteindre de grandes jouissances lorsque son sexe entrait dans mon vagin, car ses va-et-vient étaient particulièrement savoureux. L’amour que j’éprouvais pour lui y était certainement pour beaucoup. Paul a été mon amant, un merveilleux amant, mon existence sexuelle étant exquise et bien plus satisfaisante que celle de bien des femmes. Pourtant, il me semblait que quelque chose me manquait, idée que je repoussais lorsque j’entendais des déboires de femmes autour de moi. Devant leurs récits pleins de vicissitudes, je me forçais sans peine à penser que j’avais bien de la chance d’avoir Paul pour compagnon. Il devint mon mari, et moi je devins sa chose. C’était là encore une de mes pensées noires, alors qu’il resta toujours un amant pour moi et un époux parfait dans notre couple. Il s’avéra être un excellent père pour nos deux enfants sans cesser d’être un amant magnifique. Le seul bémol, c’est qu’il cessait de me faire l’amour après mon troisième mois de grossesse. Ne pouvant supporter cette abstinence, j’ai repris mes branles de substitution. Naturellement, j’ai allaité mes enfants pendant plus d’un an chacun. J’aimais cette dichotomie des seins : d’une part les ...
    ... appas féminins qui attirent les hommes et dont les attouchements me chaviraient, et d’autre part leur nature nourricière. J’ai eu beaucoup de mal à sevrer mes chérubins, non pour eux, mais pour ma propre satisfaction. Le papa profitait de mon lait abondant en venant parfois téter mes nichons et voler quelques gorgées aux bambins, qui n’en pâtissaient pas. C’était un jeu entre nous qui permettait de lier plus étroitement les deux fonctions de cette partie de ma personne qui m’était la plus chère. Lorsque nous allions sur des plages, je bronzais toujourstopless, pour le plus grand plaisir de mon homme qui appréciait de voir les autres hommes regarder ma belle poitrine. Il ne s’agissait plus de petits nénés, surtout après avoir allaité mes deux enfants. Ils avaient pris du volume sans rien perdre de leur fermeté. Paul était fier d’être mon époux. Sachant que l’un de mes plus grands plaisirs sexuels était qu’on s’occupe de mes seins, il n’hésitait pas, à la vue de tous sur ces plages, à poser une main sur l’un des deux et le caresser doucement, faisant rouler entre ses doigts la pointe. Personne ne trouvait cela choquant. Pourtant moi, tout en feignant l’indifférence, j’étais parfois au bord de la jouissance, et mon string était souvent humide avant même d’entrer dans l’eau. Un jour nous nous sommes retrouvés sur une plage où toutes les femmes portaient des bikinis ; aucune n’étaittopless. Je me suis dit qu’il suffisait que l’une ose dénuder ses seins pour que les autres suivent ...
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