1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... sentiments, je sais qu’elle est mariée et donc que notre liaison ne peut être celle d’un couple, même adultérin. Mon but est de faire l’amour avec elle, et surtout à ne pas nous limiter à des attouchements bien innocents. Elle arrive dans une robe d’été qui, quoique fort sage puisque sans décolleté et assez longue, met ses formes en valeur. Je la vois s’avancer vers moi, avec sa taille fine, ses hanches et ses seins menus que j’avais tant aimé caresser. Mais pour moi, dans cette petite gare de province, elle est comme une étoile au rayonnement puissant. Je ne vois qu’elle ; les autres passagers n’existent pas pour moi. Nous nous embrassons sur la bouche. Je voudrais échanger avec elle un baiser langoureux et sensuel, mais elle me dit gentiment : — On ne va pas étaler à la vue de tous nos embrassades.— Tu crains que ton mari te fasse surveiller ?— Je n’ai aucune crainte là-dessus, mais j’ai la sensation, idiote, que tous savent que je rejoins mon amant et que je suis la grosse salope qui va tromper mon mari avec lui. La culpabilité de la femme adultère, que veux-tu…— Je ne vais tout de même pas te sauter sur place.— J’espère bien ! Je sais, ma réaction est stupide, mais je préfère que nous soyons un peu plus discrets.— Tu as des remords ?— Non. Pas pour l’instant en tout cas. D’ailleurs, si je suis là, c’est pour ne pas avoir de regrets. Je préfère les remords aux regrets. Après cinq kilomètres en voiture, Julie me dit : — Si tu le veux, à présent, tu peux m’embrasser. J’en ...
    ... ai terriblement envie. Je me gare sur le bas-côté et nous échangeons un long et langoureux baiser. Nos langues se trouvent, nous échangeons nos salives. Je caresse le dos de Julie qui se laissait aller sur moi. Je sens sa poitrine ferme appuyer sur mon torse et, comme un jeune puceau, je sens que je bande ; ma queue déforme mon pantalon. Elle s’en aperçoit et me dit gentiment : — C’est moi qui te mets dans cet état ?— Oui, Julie, cela fait une éternité que je t’attends.— Oh, je crains le pire. J’ai peur que tu me trousses comme le ferait le plus vil des soudards avec une catin. Fabrice, il ne faut pas me prendre pour une salope, même si je trompe mon mari, même si je me donne à toi si facilement.— Jamais je ne te qualifierai de salope. Je te respecte bien trop pour cela.— Promets-moi de me prendre avec douceur et ménagement, avec autant d’égard et de ménagement qu’il y a vingt-cinq ans.— Je te promets que je mettrai tout en œuvre pour calmer mes ardeurs les plus bestiales et préserver la pudeur qu’il te reste.— Je te crois, mon chéri. Mais encore une fois, tu risques d’être déçu. Je ne la crois pas. Comment pourrait-elle me décevoir ? Certes, Julie n’est plus la jeune fille que j’ai connue ; cependant, à quarante-cinq ans, elle reste une femme attirante et séduisante. Son charme opère toujours sur moi, comme au premier jour. Et ce n’est pas parce que son couple est – selon ce qu’elle m’a confié – un désastre, que moi je n’arriverai pas à lui donner de l’amour, et surtout du ...
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