1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... plaisir. Nous allons dans l’auberge où j’ai réservé une chambre, dans la campagne au nord de Cluny. Julie, sachant très bien ce que j’attends d’elle, décide de ne pas me faire attendre plus longtemps. Dès notre arrivée dans la chambre, elle me dit : — Ce que tu recherches depuis vingt-cinq ans, c’est de me baiser.— Je dirais plutôt faire l’amour avec toi et pouvoir ensuite trouver, ensemble, bien d’autres sources de contentement.— Tout en continuant à partager les plaisirs de la luxure ensemble ?— Oui. Tu vois, Julie, si tu me disais « On baise, puis adieu. », mon bonheur ne serait pas entier. Je désire que tu me donnes plus pour que je puisse te donner plus.— Ne t’attends pas à ce que je quitte mon mari pour toi.— Je t’en prie, laisse ton mari là où il est.— Bien, ferme les volets et les rideaux ; laisse seulement cette légère lumière allumée : je ne veux faire l’amour ni en pleine lumière ni dans l’obscurité. Je reviens ; je me prépare dans la salle de bains. Je fais comme elle me demande. Le clair-obscur de la chambre réalisé, je me déshabille. J’entends Julie dans la salle de bains. Je défais le lit, vire les couvertures et je m’allonge nu dans les draps, sans pour autant recouvrir mon corps et ma virilité qui continue à faire des siennes à la seule idée que je vais posséder la femme que je désire, la seule qui soit au fond de mon corps. Elle sort de la salle de bains en nuisette blanche. J’aurais souhaité qu’elle m’apparaisse totalement nue, telle Vénus sortant des ...
    ... flots. Elle vient s’asseoir sur le lit. Elle me tourne le dos, timide comme la pucelle à sa nuit de noces. Je m’approche derrière elle, viens déposer un baiser dans son cou. Elle ne bouge pas. Je pose mes mains sur ses hanches, puis progressivement, par-dessus le tissu léger, je remonte sur le ventre, vers ses seins. Je souhaite reprendre contact avec sa poitrine qui m’avait tant plu. Je ne trouve pas ses jolis nénés sous mes mains. Je me dis que je m’y prends mal. Je tente une nouvelle approche. Rien ! Je la retourne et la couche sur le lit pour voir ce que je fais. Elle ouvre elle-même sa nuisette, me présentant son buste. C’est pour moi une stupeur. Il n’y avait plus de seins ! Julie avait des pectoraux plats comme ceux d’un homme. Il n’y avait même pas de tétons. — Je t’avais dit que tu serais déçu.— Tu… tu n’as plus de poitrine ?— Non, j’ai eu un cancer du sein. Tu vois, tu ne pourras jamais plus caresser mes nichons comme tu aimais le faire. Julie raconte J’avais bien dit à Fabrice qu’il allait être déçu. Pourtant, je n’avais pas osé lui avouer que j’avais subi une double mastectomie. Une amputation des deux seins. Une opération que j’avais très mal vécue. Je me rends chez mon gynécologue régulièrement, un bel homme d’une trentaine d’années (alors que j’ai eu quarante ans). Un homme séduisant, mais très professionnel. Le cérémonial est toujours le même : après quelques questions d’usage sur ma sexualité – fréquence, pratiques, éventuelles douleurs ressenties, etc. – il me ...
«12...121314...21»