1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... demande de me déshabiller. Je garde seulement ma culotte, sachant pourtant qu’elle ira rejoindre mes autres nippes quelques instants plus tard. J’ai beau me dire que je suis seule avec lui, que personne n’entrera dans la pièce lors de l’auscultation, que c’est un médecin qui doit voir des chattes en tout genre à longueur de journée, cela me gêne d’avoir la touffe à l’air plus que de raison. Le docteur commence par me peloter les nichons ; il soupèse, presse, malaxe, agace les pointes. Bien sûr, c’est pour la bonne cause ; il n’empêche que cette palpation en profondeur et prolongée n’est pas pour me déplaire. Et lui, cela lui arrive-t-il encore d’être excité en pelotant les poitrines féminines ? Lorsqu’il rentre chez lui, peut-il encore avoir un quelconque appétit à faire l’amour à sa femme ? En tout cas, de l’ensemble de l’examen, c’est le meilleur moment. Car ensuite, lorsqu’il me demande d’ôter le bas, et qu’intégralement nue je pose les fesses au bord de la table et place les pieds dans les étriers, je n’y ai jamais trouvé aucun contentement. Pour procéder à l’examen, il doit avoir un accès facile à mes organes génitaux ; pourtant, cela reste très intimidant, et à certains moments gênant pour moi. Le trouble s’accentue lorsque je commence à sentir qu’il me trifouille. C’est ce que je redoute le plus, et pourtant ce n’est pas douloureux ; désagréable, tout au plus. Il vérifie d’abord ce qui se voit : la vulve et l’entrée du vagin. Puis il passe aux organes internes grâce ...
    ... au spéculum qui écarte les parois du vagin. Sa main heurte (volontairement ou non) mon clitoris, ce qui me fait sursauter. En introduisant un doigt à l’intérieur de mon vagin et en palpant avec son autre main à l’extérieur, il détermine si l’utérus et les ovaires sont en bonne place et en bon état de fonctionnement. Rien de pire pour moi que de sentir un truc à l’intérieur de moi, de ne pas savoir ce qu’on me fait et de me rendre compte que je suis complètement impuissante dans cette position d’infériorité, de soumission totale. Au bout d’un certain temps qui me paraît une éternité, ça s’arrête. Il retire le spéculum et dit : — C’est bon, vous pouvez vous rhabiller. Vos résultats arriveront d’ici une ou deux semaines. C’est alors un double soulagement. Premièrement, soulagement de se savoir en bonne santé, comme un sésame donné à la poursuite d’une sexualité épanouissante. Deuxièmement, soulagement que le calvaire, que la gêne, que le malaise de me retrouver à poil devant cet homme – somme toute séduisant –, je le rappelle, dans cette position avilissante et qui fait joujou avec ma quincaillerie, soit fini. Et puis je suis rassurée, car j’ai toujours une crainte : si jamais je jouissais devant le docteur durant l’examen ? Cela ne m’est jamais arrivé, et pourtant je redoute cette situation. J’aurais pu prendre une gynéco pour éviter une mise à nu totale devant un homme. J’en ai eu une à une époque, mais je crois que ma gêne vis à vis d’elle était encore plus profonde. Je ne ...
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