1. Vertiges


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, pénétratio, initiatiq, fsoumisah,

    ... elle. Le temps était inhabituellement chaud pour une fin d’octobre. La brise caressait ses jambes nues, et son sexe nu sous sa tunique, et elle sentait vibrer chaque fibre de son corps. Ses tongs claquaient, ses pieds scintillaient, et ses bracelets de cheville tintaient à chacun de ses pas. Le parfum épais dont avaient abondamment usé les deux sœurs l’enivrait. Les terrasses des cafés étaient pleines. Elle sentait les regards glisser sur elle, et faire naître dans son corps des frissons de plaisir. Marie avait plusieurs fois dans sa vie ressenti ce vertige qui naît lorsqu’on lâche tout et qu’on se laisse emporter par le tourbillon des événements, sans plus rien contrôler. Elle n’avait jamais su dire non. À personne. Toute jeune, elle s’était donnée à son petit ami de lycée dès le premier soir. Elle ne lui avait rien refusé. Et les sentiments nés de cet abandon total l’avait plus enivrée que l’amour qu’elle ressentait pour son jeune amant immature. Elle se sentait maintenant tomber en compagnie d’Anton et savait qu’elle ne pourrait pas se soustraire à cette attraction. Elle prit le métro et retourna à son appartement. Elle sous-louait une chambre dans un grand appartement. Personne n’était là parmi les colocataires. Elle leur écrivit une lettre pour donner son congé et leur abandonna sa caution. Ses affaires tenaient dans une grande valise qu’elle traîna jusque chez Anton. Il n’était pas encore rentré. Elle s’installa. Mélangea ses quelques ustensiles aux siens. Dispersa ...
    ... ses livres dans la grande bibliothèque d’Anton. La nuit tombait lorsqu’il rentra. Il vit la valise ouverte, sur une chaise de la cuisine et sourit. Ils se prirent les mains et se regardèrent. — Tu n’arraches pas ma robe, cette fois-ci ? lui demanda Marie. Anton attrapa sa robe et en cinq coups décidés, la déchira de haut en bas. Il prit les ciseaux de cuisine qui traînaient sur la table, coupa les sangles de son soutien-gorge et dégagea ses seins. Le tout avait duré moins de dix secondes. Marie était sans voix. Elle s’agenouilla devant lui et dégagea son sexe. Ses ongles longs ne facilitaient pas la tâche et elle se traita de gourde intérieurement. Elle le prit en bouche, lentement, en prenant son temps. La verge d’Anton était légèrement salée. Elle n’était pas experte en la matière, mais elle la suça langoureusement, en s’attardant sur sa hampe et en caressant ses bourses qui se contractaient sous ses doigts décorés. Il ne tint pas très longtemps. Son explosion la surprit. Elle fut si abondante, qu’elle dut se dégager, et son visage, ses seins et son épaule gauche furent inondés. Elle le regarda dans les yeux et ouvrit la bouche, laissant la semence couler sur son menton et ses seins. Il la regardait d’un air surpris, amusé avec un je ne sais quoi d’admiratif. — Tu m’aimes comme ça ? lui demanda-t-elle— Je t’aime aussi comme ça, dit Anton Il jeta son soutien-gorge déchiré dans le poêle. Marie eut un instant d’hésitation, puis le sentiment de vertige qu’elle commençait à ...
«12...5678»