La Boîte de Pandore
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
revede,
Masturbation
journal,
... un chemin vers le petit bouton qui commande mon plaisir. Mon doigt s’aventure le long de ma fente, et lorsque je le remonte, il est tout gluant de mon humidité. Je redescends, je continue à parcourir mon sexe mouillé. C’est comme une redécouverte, j’explore des terres oubliées depuis des millénaires. Mes doigts fouillent ma chatte, écartent les lèvres et se couvrent de mouille. Je lèche mes doigts, je redécouvre ce nectar que Paul ne boit même plus. Paul, voyons, il y a ici une fontaine, écoute le bruit de son eau ! Écoute ce clapotement délicieux ! Un doigt pénètre ma chatte. Oh ! Il rentre si facilement ! Je suis tellement trempée que c’est comme si c’était mon sexe qui l’avait aspiré. Je le fais rentrer et sortir, d’abord lentement puis plus rapidement. Hmmm… Je pense à Paul, j’essaie de l’imaginer nu. Et soudain, c’est une autre vision qui m’apparaît : le stagiaire, occupé à mater mon cul. Je retire mon doigt, un peu refroidie. Oh et puis merde ! Tant pis pour toi Paul, c’est qu’un fantasme ! J’imagine ce stagiaire donc. Je suis là, en train d’ouvrir le carton, penchée en avant. Le stagiaire arrive derrière moi et se tient dans l’entrebâillement de la porte. Je me tourne vers lui, toujours penchée. Il peut voir mon joli petit cul, bombé, moulé dans une jupe de tailleur plutôt étroite. Je lui souris. Il me sourit aussi, puis sans aucune honte, tourne à nouveau son regard vers mon cul. Je devine qu’il peut voir la forme de mon string sous la jupe. Je me cambre un peu ...
... plus, exprès, et je fais semblant de me concentrer sur le carton. Un bruit attire mon attention, je le regarde à nouveau. Le stagiaire a défait sa ceinture et sorti son pénis, il est là, à un mètre de moi, en train de s’astiquer en regardant mon cul. Et il n’a pas honte. Mon regard fasciné ne peut quitter des yeux le sexe gonflé qu’il tient dans la main, un sexe assez fin mais plutôt long, dont il a décalotté le gland. Je mouille comme une folle. Je me demande même si mon string sera assez étanche pour contenir l’inondation. Je me tourne vers le carton, je continue mon travail, de moins en moins assurée. Je sens soudain deux mains se poser sur mes hanches, doucement mais avec fermeté. Je ne bouge plus, je ne respire plus. Je mouille. Les mains descendent le long de mes cuisses, puis un peu au-dessus des genoux, elles s’arrêtent et saisissent le bas de ma jupe. Il fait lentement remonter le tissu, jusqu’à ce que celui-ci m’arrive à la taille. Un collant noir tente encore vainement de cacher ce que le stagiaire pervers a entrepris de mettre à jour. Paralysée, toujours penchée en avant et appuyée sur le carton, je le laisse faire. Une seconde passe, puis ses mains s’activent à nouveau. Elles frôlent mes fesses. Ses ongles se promènent sur le nylon et ce bruit m’électrise. Puis brusquement, il saisit le haut du collant et l’abaisse jusqu’à mi-cuisse, dévoilant ainsi mon cul, tendu vers lui, faiblement protégé par un string minuscule. Mon sexe ruisselle à présent, il me semble que le ...