1. La Boîte de Pandore


    Datte: 28/08/2019, Catégories: f, fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Masturbation journal,

    ... liquide coule entre mes cuisses. Le stagiaire affiche un sourire satisfait. Il joue avec la ficelle de mon string. Va-t-il l’enlever aussi ? Je me sens vulnérable, pire : offerte. Cambrée comme je le suis, je me rends bien compte du spectacle que je lui offre : un accès imparable à ma chatte, une vue sur mon cul dont le globe est coupé en deux par une minuscule petite corde. Celle-ci épouse d’ailleurs la raie de mes fesses mais cache à peine l’œillet brun de mon anus. Un doigt posé sur la ficelle, le stagiaire suit ce chemin avec lenteur. Il ralentit encore en arrivant à mon petit trou. Il écarte la ficelle jusqu’à dégager l’accès. Mon cul et ma chatte lui sont ouverts. Sans hésitation, c’est dans mon sexe qu’il s’enfonce jusqu’à la garde, d’un coup brutal et inattendu. Je suis remplie de lui. Il commence à me besogner sauvagement. Sur mon canapé, j’ai maintenant deux doigts bien enfoncés dans ma chatte et je m’active par va-et-vient, tandis qu’une autre main s’affaire sur mon clito. Le désir m’envahit, j’ai chaud partout. Ma peau se hérisse tandis qu’une vague de plaisir afflue soudain. Je me cambre, mes pieds se crispent et en poussant un soupir, mon corps est secoué d’une série de spasmes fulgurants. Mon vagin se resserre sur les doigts au moment où il me semble que j’explose. Puis je m’apaise, progressivement je reprends ...
    ... mon souffle et mes esprits. Ouah ! C’était délicieux ! Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas joui, et soudain, je me demande même si ça n’était pas meilleur qu’avec… non, chasser cette pensée de mon esprit. Finies les frasques adultères, maintenant il faut revenir à la réalité. Celle-ci est moins glamour : je suis sur mon canapé, nue à part une culotte repoussée jusqu’aux chevilles, et les doigts poisseux de mon liquide le plus coupable. Péniblement, je me lève, un peu tremblante sur mes jambes, et je vais me doucher. Pendant dix minutes, je suis ailleurs, encore sous le coup de mon orgasme. Il me semble que j’ai fait une grosse bêtise hier soir. Non, je ne culpabilise pas de m’être adonnée à des pratiques réprouvées, non, je ne culpabilise pas non plus pour ce petit stagiaire, pas plus que pour Paul, qui de son côté ne m’a jamais caché son goût pour les pin-up et autres actrices dénudées. Non, mon véritable souci, c’est que j’ai le sentiment d’avoir ouvert une boîte de Pandore. J’avais enterré la nymphomane que j’avais été jadis au plus profond de moi, mais je crois qu’elle est réveillée, et qu’elle crie vengeance. Aurai-je assez de volonté pour repousser ses envies démesurées ? Par le passé, j’ai pu voir de quoi elle était capable et aujourd’hui, elle serait bien capable de mettre mon couple, déjà fragile, en péril. 
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