Cendrillon à la plage
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
profélève,
fépilée,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
journal,
... j’allai plus loin. — Puisque nous avons fait connaissance, dis-je… Nathalie et moi, nous connaissons, à une trentaine de kilomètres de là, une petite crique charmante et très isolée. Si vous avez envie de voir autre chose que des plages surpeuplées, pourquoi ne nous y accompagneriez-vous pas un des ces quatre ? Ma voiture n’est pas très grande, mais nous y tiendrons tous ! » Nathalie me considéra, interdite. « Mais, enfin, Philippe, tu n’y penses pas, tu sais bien que nous allons bientôt recevoir Christian… ». « Eh bien, attendons qu’il arrive, répliquai-je, nous serons six ! Plus on est de fous… » Les trois garçons se regardèrent, ne sachant que penser… « Pourquoi pas, si nous sommes sûrs de ne pas vous déranger… » L’affaire fut entendue. Dans la voiture, sur le retour, elle me lança, sur un ton de reproche : « Demain, nous n’irons pas à la plage, ni après-demain. J’ai trop honte. Tu iras leur dire que le rendez-vous est annulé et que je suis malade… — Allons, allons…— Quel maladroit tu fais, tout de même : laisser tomber ma serviette !— Qui te dit qu’il s’agit d’une maladresse ?— Qu’est-ce que tu dis ? Tu n’aurais quand même pas… ?— Ma chérie, tu as un corps ...
... merveilleux, et depuis quelques semaines tu en as conscience, cela fait plaisir à voir. Depuis plusieurs jours, ces jeunes gens te mangeaient du regard, tu le savais parfaitement. Ils regardaient tes seins, ils essayaient de deviner le reste. Et ça me convient. De quoi te plains-tu ? En leur montrant que tes fesses étaient aussi somptueuses que tes seins, non seulement je faisais œuvre de charité envers ces pauvres jeunes gens, mais j’enrichis ton blason : ils savent désormais que tu n’as rien à cacher… » Nathalie me regarda, silencieuse. Elle détourna le visage, fixa la route, et dit, un sourire en coin : « Tu es odieux . Que cherches-tu à la fin ? » Je ne répondis pas, laissant ouvert le champ des suggestions. Mais la modération de ses protestations me comblait : elle me montrait que désormais, Nathalie était prête à vivre d’autres expériences de ce genre, et même, peut-être, à aller beaucoup plus loin. Je ne la reconnaissais plus, j’étais dans un épouvantable état de désir. Rentré au studio, je lui laissai à peine le temps de déposer ses affaires. Ce fut un hymne à la beauté de ma femme. La nuit elle-même a dû rougir de nos ébats et de nos cris… » à suivre…