1. Cendrillon à la plage


    Datte: 06/09/2019, Catégories: fhhh, fplusag, jeunes, couplus, extracon, profélève, fépilée, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, journal,

    ... taille, ce qui lui permet de retirer sur la plage son slip de bain (elle n’aime pas être assise dans la voiture vêtue de son maillot) et d’enfiler rapidement une robe de plage. Bref, une de ses «cabines de bain» de fortune que tous les plagistes connaissent bien. Nathalie s’était donc levée, et m’avait tendu la serviette dont je lui ceignis la taille, comme à notre habitude. Toujours sous les regards attentifs et scrutateurs de nos trois gars. Il n’était pas difficile de deviner qu’ils attendaient une aubaine, aussi sûrement que les jeunes gens de Fragonard guettaient les « hasards heureux de l’escarpolette »… J’osai donc trahir Nathalie – mais était-ce vraiment une trahison ? – : lorsque ma femme, à l’abri sous la serviette, eut retiré son slip, je fis mine de vouloir réajuster la serviette et, simulant un geste maladroit, je fis tomber la fragile protection aux pieds de ma femme. « Oh, désolé ! », dis-je, hypocritement. Nathalie poussa un cri, on devine pourquoi : elle se retrouvait entièrement nue sous les yeux de ses trois bacheliers ! Personne d’autre, sur la plage, ne s’était rendu compte de ce qui se passait. Le plus émouvant était encore de voir son embarras. Car Silvio était face à elle, tandis que Thomas et Jean-Pierre étaient derrière elle. Tempête sous un crâne : que devait-elle protéger en priorité ? La nudité de son sexe, livrée au regard de Silvio, où les rondeurs de ses fesses ? Elle choisit de dissimuler son sexe, dont Silvio avait eu le temps de voir ...
    ... qu’il était épilé. Mais elle ne se rendit pas compte qu’à l’instant même où elle plaçait, en un geste délicieux de pudeur, ses mains entre ses deux cuisses serrées, elle se courbait vers l’avant, comme par réflexe, exposant de manière encore plus provocante sa croupe enchanteresse à Jean-Pierre et à Thomas, effarés d’une telle aubaine. La scène, qui n’aurait pu durer que trois secondes, s’éternisa en raison de mon évidente mauvaise volonté. Rouge de confusion, elle m’avait regardé d’un air de détresse, me demandant aussitôt de ramasser la serviette et de l’en couvrir. Moi, je feignis d’éclater de rire et d’être momentanément incapable de saisir quoi que ce fût ! Nathalie, nue, exhibée (mais d’autant plus paniquée, pensai-je, qu’elle avait sans doute inconsciemment désiré s’exposer ainsi aux désirs des trois garçons), Nathalie ne savait que faire, n’osant retirer les mains de son entrecuisse pour saisir la serviette. Au bout d’une bonne minute, ce fut Jean-Pierre qui, galamment, la ramassa, se rapprocha – je le vis distinctement effleurer les fesses nues de ma femme –, et lui passa lui-même la fragile protection, non autour de la taille d’ailleurs, mais à la hauteur de la poitrine. Il prit prétexte de cette délicate opération pour furtivement lui frôler les seins… Elle sursauta légèrement, mais ne protesta pas. « Merci, merci beaucoup, Jean-Pierre… », dit-elle les yeux baissés. De quoi le remerciait-elle, au juste ? J’aurais pu clore l’épisode, déjà suffisamment excitant. Mais ...
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