L'Aurore d'une autre vie (15)
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Beaucoup plus que de raison. Avant d’éteindre mon ordi, je vis qu’il était près de trois heures du matin. On pouvait encore entendre les échos de vaisselle rangée, mais sans plus. Le couloir était silencieux. Il était temps de se coucher ; me glissant sous la couette, ma main toucha quelque chose sous l’oreiller. Curieux, je le pris : c’était une enveloppe fermée, avec marqué à la main, la main d’une fille, « Joyeux Noël Arnaud ». Je souris, ça m’avait tout l’air d’être de la part d’Aurore, qui elle non plus ne m’avait pas offert de cadeau. S’agissait-il de photos d’elle, de ses charmes ? D’un billet d’amour ? D’un poème enflammé ? Toutes les idées me firent sourire. J’ouvris la lettre. Rien de tout cela. Il s’agissait d’un papier rédigé par une institution officielle, au nom d’Aurore. Les résultats… d’un test de dépistage. Daté du 11 décembre. Et partout où il fallait, il était noté « Négatif ». Une poussée d’adrénaline m’envahit. À ce moment précis, on gratta à ma porte. En chuchotant fort tout en baissant le papier, je répondis « Oui ? » et Aurore entra sans bruit, ferma la porte derrière elle, enleva son pyjama et vint me rejoindre sur le matelas. Aurore, tu es folle ?! La maison est pleine ! Mais je ne dis rien, me laissant complètement faire. Ma verge s’était dressée toute seule, rapidement. Je savais ce que ma partenaire voulait, ou plutôt ce qu’elle ne voulait plus. Ce dépistage n’était pas là par hasard, surtout qu’il m’avait rappelé notre conversation dans la ...
... voiture. Ma cousine me caressait partout sous le pyjama avant que je ne l’enlève, ainsi que le pantalon. Nous nous embrassâmes, conscients du danger d’avoir du monde dans les chambres avoisinantes mais trop désireux et pressés de faire l’amour. J’avais quand même encore un doute. — Aurore, fis-je en chuchotant, je suis pas sûr pour moi, j’ai pas fait de dépistage. — Ne t’inquiète pas. Ça peut s’attraper en suçant aussi. Tu as vu le résultat. Effectivement, j’avais oublié ce détail. Il y eut comme une libération, maintenant j’avais envie ! J’en mourais d’envie ! — J’ai… j’ai un peu peur, fis-je. C’est ma première fois « sans ». — Je sais, Arnaud. Moi aussi. Mais j’ai bien pris ma pilule. Je me mis à aimer tout son corps à travers mes doigts et mes mains. Mes yeux restèrent un instant fixés sur ses très jolis seins, ronds et blancs. Ma queue appréciait particulièrement le bal de ses phalanges, tout comme mes testicules. Ce soir-là, il n’y avait plus la simple excitation sexuelle, mais autre chose, un désir amoureux, une inquiétude ; j’avais l’impression d’être vierge à nouveau. Aurore me prit le poignet pour le diriger entre ses cuisses. Caresser savulve après tant de temps et dans cette situation ne fut jamais aussi agréable. La fille me souriait et, tout en me malaxant très doucement les boules, me dit avant de déposer un baiser sur ma joue : — J’ai envie de les vider. À ces mots, j’introduisis mon majeur en elle. Et elle était brûlante ! Remuant mon doigt, son corps sembla très ...